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La Théorie Sociobiologique du viol ...

     La théorie sociobiologique du viol des femmes par les hommes, s'oppose à la thèse controversée soutenue par les féministes selon laquelle le viol des femmes par les hommes est le résultat d'une éducation parentale stéréotypée en défaveur des femmes, c'est ce que ces idéologues paranoïaques appellent la "Culture" du viol".

     Dès 1971, Susan Griffin affirme dans Rape: The All-American crime, que puisque le viol est absent de certaines cultures (quelles cultures ?) comme le suppute Margaret Mead (grande promotrice du viol des femmes), « ... loin de croire que le contrôle du viol est appris, les comparaisons avec d'autres cultures nous amènent à soupçonner que, dans notre société féministe, c'est le viol lui-même qui est appris. [par qui ?] Le viol n'est pas un acte isolé qui peut être éradiqué du patriarcat sans en terminer avec le patriarcat lui-même ». Donc il faudrait d'après les féministes culturalistes, que les choix hétérosexuels des femmes ne soient plus hypergamiques ... Or le féminisme est inefficace lorsqu'il s'agit de préconiser aux femmes minces d'épouser des hommes plus insolvables, plus petits et plus faibles qu'elles, ou de ne plus dépendre économiquement des hommes pour vivre ... Auquel cas, ce serait toute l'économie libérale qui s'effondrerait.

 

La contradiction féminine :

    Même si toute l'économie occidentale doit disparaitre, les femmes doivent enfin se libérer de leur hypergamie patriarcale, car désormais les femmes doivent non seulement parler et dénoncer (dans l'année si possible) tous les hommes de pouvoir qui les attirent et qui les violent par surprise (qui tétanisent), par menace (de ne pas avoir un poste confortable) ou violence (de la supériorité sociale). D'après M,S, toutes les relations intersexuelles dont les hommes sont économiquement ou bâtimentairement supérieurs à leurs compagnes, sont dans une position de violeurs, du simple fait de leur supériorité sociale par rapport aux femmes qui les ont librement choisi, même s'ils sont plus frêles qu'elles. En effet, un homme qui gagne même un euro de salaire supérieur au salaire de sa partenaire conjugal, fait de ce pourvoyeur un violeur présumé, tandis que les femmes "indépendantes" qui recherchent des hommes qui gagnent plus d'argent qu'elles, même un euro de revenus de plus, sont des prostituées indirectes. Or, aucune femme mince ne veut d'un homme locataire, même si le locataire est tétraplégique ou doté d'un micropénis.

     Combien de dénonciations d'hommes puissants devrait-il y avoir, avant que l'hypergamie féminine occidentale soit constitutionnellement interdite ? ... Pourquoi les féministes n'imposent-elles pas aux femmes de demander le consentement hétérosexuel aux hommes qu'elles "désirent" ? Peut-être que le féminisme a besoin de créer une culture du viol afin de justifier leur idéologie sexiste et leurs subventionnements !!! 

     La théorie sociobiologique du viol a été popularisée par le biologiste Randy Thornhill et l'anthropologue Craig T. Palmer dans leur livre A Natural History of Rape (Une histoire naturelle du viol), paru en 2000.

 

Approche socio-juridique du viol :

     Le viol des femmes en France est un acte criminel extrêmement grave défini par l'article 222-23 du Code pénal. Il concerne « tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui ou sur la personne de l'auteur par violence, contrainte, menace ou surprise ». Il faut donc distinguer le viol ainsi défini (qui constitue un crime) des « autres agressions sexuelles » définies par l'article 222-22 (qui constituent des délits) comme toucher une femme sans son consentement ainsi que les harcèlements et outrages sexuels (qui constituent des contraventions) lorsqu'un locataire aborde ou complimente une femme sans le consentement de cette dernière. Le crime de viol est passible de 15 ans de réclusion criminelle à la réclusion criminelle à perpétuité. Le délai de prescription de ce crime horrible est de 30 ans, à partir de la majorité de la victime (jusqu'à ses 48 ans minimum).

     En 2019, selon le ministère de l'Intérieur, 22 900 viols ont été signalés en France (mais plusieurs millions de viols féminins ne sont jamais signalés), un chiffre en hausse de 19% par rapport à l'année 2018 et qui augmente chaque année. Sur ces 22 900 signalements, seuls 1200 crimes de viol et 12 000 délits sexuels ont été condamnés, sans parler des millions de viols conjugaux gardés sous silence. On sent bien l'efficacité "culturelle" du ministère chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes ...


     Le Réseau National contre le Viol, la Maltraitance et l'inceste (RAINN) reprend l'estimation qui montre qu'à l'université 90 % des viols seraient commis par 3 à 7 % des hommes. Le RAINN affirme que le viol est le fait d'une minorité d'hommes ayant décidé d'ignorer le message communément intégré affirmant que le viol des femmes est un crime très grave qui déshumanise les violeurs.

     Selon M.S, si la "culture du viol" existait, tous les hommes se flatteraient d'être des violeurs. Le rapport américain du RAINN soutient que la tendance visant à diriger l'attention sur les facteurs culturels supposés cautionner le viol « a l'effet paradoxal qui est celui de rendre la violence plus difficile à arrêter, étant donné qu'il éloigne l'attention de l'homme mis en cause, et de toute évidence atténue la responsabilité personnelle envers ses propres actions.»

     Bizarrement, les célébrités accusées de viol sont généralement des personnalités proches de la gauche progressiste : Ary Arbittan, Christophe Arend, Damien Abad, Denis Baupin, Dominique Strauss-Kahn, Eric Coquerel, François Asselineau, François Durpaire, Georges Tron, Gérard Depardieu, Gérard Ducray, Gérard Louvin, Gérard Miler, Jean Lassalle, Jean-Luc Lahaye, Jean-Jacques Bourdin, Juan Branco, Julien Bayou, Jean-Vincent Placé, Leo Grasset, Luc Besson, Maxime Cochard, Nicolas Hulot, Norman Thavaud, Olivier Duhamel, Patrick Pelloux, Patrick Poivre d'Arvor, Pierre Joxe, Richard Berry, Roman Polansky, Taha Bouhafs, Tarik Ramadan etc, etc, etc, etc. ... En effet, les femmes doivent se méfier des hommes, et davantage des hommes de gôche, des hommes qui pensent que les femmes ont la même sexualité que celle des hommes, une sexualité gratuite et sociale.

     Les personnalités impliquées dans l'affaire pédocriminelle de la Casa Pia (Maison "pieuse") au Portugal étaient toutes connues pour leurs opinions de gauche, or la pédocriminalité n’épargnant, a priori, aucun camp politique, les proches des accusés ont utilisé cette particularité du dossier, pour crier au complot politique et sont allés jusqu’à accueillir le député Paulo Pedroso comme un héros au Parlement, lorsqu’il a été remis en liberté provisoire. Selon Pedro Namora, ancien de la Casa Pia, aujourd’hui, avocat réputé, et qui coordonne le réseau des anciennes victimes : « dès que des notables ont été mis en cause, les politiques ont découvert qu’il fallait réformer le Code pénal et renforcer la présomption d’innocence. Ils sont vite passés des droits de l’enfant à celui des accusés. Et ils ont oublié les victimes ».

     Quant aux affaires pédocriminelles en Angleterre (Aylesbury, Banbury, Derby, Halifax, Keighley, Newcastle, Oxford, Plymouth, Rotherham, Rochdale, Telford et ailleurs.) commis par des centaines de migrants pakistanais, furent étouffées par les pouvoirs publics de gauche afin de ne pas ternir l'immigration de repeuplement, avec la menace de "racisme" contre les milliers de victimes mineures.

     Le seul endroit au monde où le viol des jeunes femmes est institutionalisé se trouve dans les régions Sud du Malawi, régions matriarcales tenues par des femmes cheffes qui initient les jeunes femmes vierges au rite du viol, en payant des violeurs spécialisés (Hyènes).

 

La Théorie Sociobiologique du viol :

     Thornhill et Palmer expliquent le viol en faisant appel au modèle Darwinien de la Sélection Sexuelle : les premiers hommes auraient augmenté leur succès reproductif en coïtant dans les rares femmes fécondables et disponibles par le moyen de la coercition si nécessaire, et cette prédisposition biologique à la violence se serait transmise à leurs descendants masculins, malgré les 30% d'hommes naturellement homosexuels. Selon Thornhill et Palmer, le viol est un crime hétérosexuel répandu chez les primates non humains, et dans la plupart sinon dans toutes les cultures de l'humanité.

     Les agressions sexuelles des hommes contre les femmes (et l'homosexualité masculine) ne peuvent pas être une construction sociale patriarcale puisque le viol des femmes fut interdit par toutes les sociétés humaines. La première mention écrite du viol se trouve dans le Code de Hammurabi, qui distingue viol et adultère. La loi 129 établissait que si une femme mariée (chose privée) et un homme étaient surpris ensemble « en flagrant délit », les deux devaient être noyés. Le mari pouvait cependant pardonner à sa femme (marchandise souillée). La loi 130 établissait, en revanche, que si une jeune fille vierge (neuve) était trouvée avec un homme (insolvable), seul l'homme devait être mis à mort. Le viol, ou la pulsion au viol, serait donc une adaptation évolutive, tout autant que l'homosexualité (hommes excédentaires capables de s'occuper et de nourrir leurs nièces et leurs neveux sans contrepartie hétérosexuelle).

 

Exemples de viol dans le monde animal :

     Thornhill et Palmer introduisent leur théorie par une description du comportement sexuel de la mouche scorpion, ou panorpe mâle qui, pour s'accoupler dans la femelle, lui présente de la nourriture en échange pendant la parade nuptiale, ou s'il ne dispose pas de ce moyen d'échange, recourt à la force pour la retenir, au moyen de petites pinces. Ils rapprochent ce comportement criminel de celui des hommes dont les pulsions sexuelles agressives se manifestent au grand jour à l'occasion des guerres, des mariages et des occasions d'alcooliser ou de droguer les femmes, là où les viols des femmes sont impunis : viols tarifés ou privés = travailleuse du sexe, plan cul, viol conjugal et viol festif.

     D'autres scientifiques ont rapproché également l'homosexualité et le viol dans le règne animal et chez les êtres humains, notamment Richard Wranghan qui évoque l'exemple des chimpanzés dans Demonic Males : Apes and the Origins or Human Violence (Les singes et l'origine de la violence humaine, 1996). Ces phénomènes d'homosexualité, de coïts hétérosexuels forcés et d'infanticides chez les animaux mâles sont constaté par tous les spécialistes.

 

Viol dans les sociétés humaines :

     La sociobiologie et la psychologie évolutionniste rappellent que l’homme a vécu pendant 99% de son histoire comme un chasseur-cueilleur, et pensent que « la Sélection Naturelle a retenu les connexions appropriées à la résolution des problèmes quotidiens de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs », notamment à la nécessité de trouver une femme fécondable ou la difficulté à conserver un homme solvable (ressources vitales rares). L'origine du viol des femmes peut être expliqué par M.S, par le fait que la bipédie a fait perdre aux femmes leur œstrus (indicateur visuel de disponibilité hétérosexuelle pour les hommes et qui ne dure que quelques minutes par mois) et a fait perdre aux hommes leurs baculums - os pénien qui se brise en cas de viol, donc le rut est devenu permanent chez les hommes.

     Le viol des femmes serait ainsi une prédisposition sociobiologique criminelle héritée de la préhistoire, de même que la jalousie, car le jaloux en surveillant sa couveuse a plus de chances de transmettre ses gènes, tandis que la jalouse a plus de chances de conserver son protecteur (violeur exclusif). Ou l'adultère : car l'homme infidèle qui fait des enfants dans plusieurs femmes se donne un avantage supplémentaire dans l'évolution, tandis que la femme infidèle peut profiter à la fois des bons gènes de ses amants sains et de la protection économique de son protecteur économique dysgénique.

     D'après la biologie de l'investissement parental : « Un homme peut avoir beaucoup d'enfants, avec peu d'inconvénients pour lui-même ; une femme ne peut en avoir que quelques-uns et avec beaucoup d'efforts ». Les hommes (locataires) seraient donc naturellement beaucoup moins sélectifs dans leurs choix hétérosexuels à l'égard de leurs victimes, que les femmes (minces) envers leurs (potentiels) violeurs.

     Thornhill et Palmer montrent que le viol est une stratégie de reproduction masculine en prenant appui sur le fait que les femmes sont le plus souvent victimes de viol pendant les années où elle sont susceptibles de procréer. Selon ces mêmes auteurs, les amants n'utilisent généralement pas plus de force que nécessaire pour maîtriser leurs victimes, car blesser physiquement les femmes réduirait leurs chances de reproduction.

     L'anthropologue Edward H. Hagen donne en 2002 quelques arguments qui vont dans le sens de Thornhill et Palmer. Il décrit ainsi certaines conditions de l'environnement ancestral au cours desquelles les gains reproductifs du viol avaient dépassé les coûts :

- Les hommes pouvaient, quand ils étaient de haut rang, pratiquer le viol sans craindre de représailles.
- Les femmes sans protection hétérosociale (par exemple, les orphelines et les jeunes veuves) étaient particulièrement vulnérables au viol parce qu'avec elles, les hommes ne craignaient pas la vengeance du mari, du père ou des frères de la victime.
- Pendant les guerres, le viol des femmes ennemies était systématique, au même titre que le massacre des hommes, car sans aucun risque.

     Selon M.S, "Dans toutes les sociétés humaines les hommes ont déclaré la guerre à leurs voisins pour leur voler des femmes ou pour récupérer celles qui leur ont été volées précédemment .... Mais jamais les femmes n'ont déclaré la guerre à d'autres tribus pour leur voler des hommes, CQFD" ...

 

Stratégies de défense des femmes :

     Selon les psycho-évolutionnistes les femmes ont développé de leur côté des stratégies pour éviter le viol public, comme la préférence accordée à un seul (violeur) pourvoyeur immobilier qui est un garde du corps ou un employeur efficace contre les autres hommes, c'est l'hypergamie féminine monogamique ; elles préfèrent ainsi se faire violer par un seul homme physiquement et socialement dominant (par le mariage hypergamique et monogamique), jusqu'à ce qu'elles aient un enfant pour vite divorcer ensuite.

     Bien qu'il y ait également d'autres raisons évolutives pour une telle préférence hypergamique, tels que le manque de libido féminine et la vulnérabilité hétérosexuelle et procréative des femmes, entre autres. Les égalitaristes qui affirment que les femmes apprécient le coït hétérosexuel ne font en fait que promouvoir l'incitation au viol des femmes par les hommes, même par les hommes les plus solvables. Alors que l'asexualité féminine est indispensable à la motivation immobilière masculine.

 

L'homosexualité masculine ; Stratégie masculine pour éviter la compétition hétérosexuelle :

    Selon les sociobiologistes une petite partie des hommes ont développé de leurs cotés des stratégies pour éviter de violer les femmes, comme la préférence accordée aux hommes jeunes et athlétiques qui sont des objets sexuels efficaces contre la frigidité naturelle des femmes et la rude compétition hétérosexuelle masculine qu'elle implique, c'est l'homosexualité masculine adaptative ; les gays préfèrent alors se faire sodomiser par d'autres hommes physiquement dominants, mais pas forcément homosexuels ou solvables.

     Bien qu'il y est également d'autres raisons pour une telle préférence homosexuelle masculine, telles qu'une carence en taux de testostérone, de la trop grande libido masculine et de la trop grande rareté féminine, entre autres (les jeunes femmes mourraient en masse lors de la mise bas). Les traditionalistes qui affirment que l'homosexualité masculine est contre-nature ne font que promouvoir l'homophobie, alors que l'homosexualité masculine est indispensable à l'équilibre hétérosocial qui lutte contre le déséquilibre économico-sexuel masculin engendré par l'hypergamie immobilière de toutes les femmes, même des femmes les plus solvables.

 

Technique des hommes solvables pour éviter les accusations de viol :

     Depuis la "Libération sexuelle" des femmes, les propriétaires bâtimentaires qui profitaient déjà de leurs harems privés, ont trouvé un nouveau moyen d'utiliser et d'humilier sexuellement les jeunes femmes minces nouvellement indépendantes du mariage insolvable. En effet, depuis le début des années 1960 l'industrie pornographique permet de couvrir les pires violences sexuelles contre les femmes minces (ou refaites) par le biais de très grosses rémunérations des travailleuses sexuelles directes pour mettre en scène leur propre viol "consenti" car contractualisé et filmé, donc mettant hors de cause les riches producteurs, réalisateurs et "acteurs" porno. Cette technique cinématographique très couteuse et inculpabilisante n'a jamais subi d'interdiction (par le féminisme) car les travailleuses sexuelles du porno finissent toutes, en 3 ou 4 ans, elles aussi propriétaires bâtimentaires sans emprunt, sans père solvable et sans gagner au Loto.

     Le cinéma pornographique permet surtout aux hommes solvables de sélectionner des escorts et des maitresses avec la certitude de ne jamais être accusé de viol ou de chantage au viol, et de plus, les vidéos pornos démontrent les prestations sexuelles que les maitresses ont subies et qu'elles acceptent de resubir en privé. Les jeunes femmes minces naturellement ambitieuses, mais qui veulent rester discrètes ou ne pas subir de chantage intime, se filment elles-mêmes entrain d'endurer certains types d'actes sexuels dans des vidéos privées, afin de les montrer discrètement à leurs potentiels sélectionneurs solvables et hypersolvables, leurs limites hétérosexuelles, c'est selon M,S le Casting hétérosexuel privé.

     Depuis la démocratisation d'internet, tous les hommes solvables et hyposolvables (petits médecins, jeunes propriétaires, chefs de petites entreprises, etc.) peuvent violer librement des jeunes femmes minces s'ils filment et publient leurs viols sur leurs sites pornographiques amateurs et officiels (2 sites porno ouverts par minute en 2022). En effet, aucune plainte pour viol ne peut être portée contre les scènes pornographiques les plus dégradantes, tant que le viol la prestation est fructueusement et légalement rémunérée. Il suffit alors pour n'importe quel homme d'acheter une caméra (ou d'utiliser son smartphone), d'ouvrir un site porno déclaré, de faire passer une annonce pour le casting d'actrice porno (Casting hétérosexuel public) et d'avoir assez d'argent pour payer les candidates minces, pour voir défiler une myriade de jeunes postulantes minces prêtes à tout pour encaisser un gain conséquent en très peu de temps et jusqu'à plusieurs fois par jour.

     Cette technique pornographique de viol des femmes est restreinte aux hommes solvables qui n'ont aucune célébrité (Image sociale). Ce qui pousse beaucoup d'hypersolvables (acteurs et politiciens) à tomber sous le coup d'accusation de viol par les femmes minces de leur entourage et leurs admiratrices (Metoo), lorsqu'ils n'utilisent par le casting hétérosexuel privé. L'autre technique employée par les hommes pour éviter les accusations de viol, est le tourisme hétérosexuel dans des pays miséreux, là où les femmes risqueraient de ruiner leurs pays pauvres en dénonçant les touristes violeurs.

 

Recommandations pour prévenir le viol des femmes :

     Thornhill et Palmer se défendent de légitimer le viol des femmes : “La biologie, affirment-ils, apporte une compréhension du comportement humain, pas sa justification”. Ils suggèrent ainsi un certain nombre de mesures pour prévenir le viol public (ou non tarifé). Ils proposent de mettre en garde les hommes (tous des potentiels violeurs) contre leur prédisposition à mal interpréter "l'invitation féminine au coït". Une autre stratégie de prévention des viols consiste selon ces auteurs à revenir, pour les femmes, à des tenues vestimentaires pudiques (Burka), et à limiter la liberté hétérosociétale de fréquenter des hommes sans surveillance familiale ou policière.

     Selon eux, la suppression féministe de nombreux contrôles socio-patriarcaux qui empêchaient le viol public des femmes a créé un environnement extrêmement dangereux contre les femmes modernes. Ils recommandent que « les femmes interagissent avec des hommes biens connus et uniquement dans des lieux publics ou en présence des parents de la jeune femme ou à proximité des forces de l'ordre pendant les premières étapes de leurs relations ».

     M.S fait également valoir que le violeur de la victime (le mari de la femme violée dans 80% des cas de viol) doit être chimiquement castré en raison de son incompréhension féministe de la frigidité naturelle des femmes et de leur sexualité uniquement psychologique (ou immobilière) et clitoridienne, sans besoin de coït. Le fait pour les femmes de consentir au coït hétérosexuel de leurs pourvoyeurs est un moyen de ne pas leur divulguer leur frigidité naturelle : les femmes consentent alors pour ne pas avoir à se justifier sur pourquoi elles n’ont pas envie de se faire coïter.
     Tous les experts rejettent l'interprétation féministe du viol comme manifestation d'un désir de domination patriarcale. C'est qu'en fait, la libido masculine prive d'empathie hétérosexuelle et de capacité cérébrale une grande partie des hommes (100 % des violeurs). Voir Le pouvoir de la Minceur féminine sur le cerveau masculin sur ce blog.

 

Le consentement hétérosexuel des femmes :

     Nathalie Barjos, chercheuse à l’Inserm dit que “consentir, c’est s’engager dans une relation ou des pratiques sexuelles lorsqu’on en a véritablement envie soi-même”.
- Le respect du consentement hétérosexuel des femmes, c’est un conditionnement qui vise à réduire la libido masculine.
- Un conditionnement du oui et du non, du plaisir clitoridien et du piètre désir hétérosexuel féminin.
- Un conditionnement qui, dans une relation hétérosexuelle, se fait par les femmes sur des hommes locataires ou fragiles.

     Le consentement hétérosexuel des femmes peut s’exprimer de plusieurs manières, il peut être verbal ou gestuel, il peut être explicite ou implicite. Il n’est jamais définitif ni automatiquement extensif. Il peut être valable seulement à un moment donné sur une pratique donnée.
     Le consentement féminin, c’est une “pratique relationnelle” dit Alexia Boucherie dans son ouvrage Troubles dans le consentement. “Le consentement doit être ‘énoncé’, c’est à dire manifesté ou exprimé de sorte à ce qu’aucun doute ne soit possible”. Maïa Mazaurette, journaliste (non chômeuse et qui ne sélectionne que des jeunes soumis de 20 à 25 ans), parle de consentement féminin “enthousiaste”. Elle explique dans un billet de 2017 que : “Au lieu de demander après le coït hétérosexuel (donc trop tard) si la femme a aimé, il s’agirait que l'homme lui demande avant et pendant, si la femme aime encore et va continuer à aimer (car rappelons-le, les femmes peuvent changer d’avis au milieu d’un coït hétérosexuel  – en hétérosexualité, aucune femme ne vous oblige à finir votre assiette, alors que les hommes doivent toujours éjaculer pour conclure le coït hétérosexuel)”.

 


Quelques conseils pour des coïts hétérosexuels consentis :

     Dans une société dans laquelle les femmes et les hommes ne sont naturellement pas à égalité sexuelle, peut-on penser un consentement hétérosexuel des femmes comme étant libre et éclairé ? Peut-être pas complètement. Mais à défaut de libido hétérosexuelle féminine, rien n'empêche les hommes d’essayer de tendre vers un accord hétéro-coïtal le plus honnête possible.
Comment faire ? :


• Le baratineur peut discuter avec la femme de sexe et de sexualité, de ce qui lui fait plaisir ou ce qui l'inquiète. Or les femmes répondront toujours positivement aux hommes solvables.
Le consentement passe avant tout par la communication” rappelle le petit manuel Sex Education rédigé par Charlotte Abramow. Par la communication économique plus précisément rappelle M.S.
• Le flatteur peut écouter et surtout entendre ce dont la femme a envie ou pas. Si la femme ne dit rien, cela ne signifie pas forcément “d’accord”. Dans le doute, on demande un acte sous-seing public ou l'enregistrement vidéo de toute la scène coïtale, même si ça n'évite pas le viol.
• Le féminisé peut reconnaître que le fait d’être en couple n’implique pas automatiquement le fait de pratiquer des coïts hétérosexuels clament les féministes, alors pourquoi être en couple ?
• Le prédateur peut réfléchir en permanence à ce que ressent sa proie durant le coït. S'assurer qu'elle ne portera pas plainte par la suite.
• Le locataire n'a pas à s’inquiéter si la femme mince n’a pas envie, afin de laisser la femme tranquille.
• L'insolvable a le droit d’être triste ou frustré si la femme n’a pas envie mais jamais - JAMAIS - il n'a le droit de mettre la pression, de faire du chantage, d’humilier ou de blesser. Le consentement obtenu sous la contrainte n’en n’est pas un. La seule condition du consentement pour les femmes c'est d'être avec un homme solvable et économiquement fidèle.
• On peut reconnaître que dans la société féministe, les rapports hétérosociaux ne sont pas des rapports d’égalité sexuelle. Une relation humaine ne sera pas déconnectée de ce qui existe dans le reste de la société privée. Et donc se dire que les hommes doivent faire attention à la façon dont ces inégalités naturelles impactent leurs relations individuelles, économiques et juridiques avec les femmes modernes.


     Et n’oubliez jamais : s’il y a le moindre doute, on demande à la femme : naturellement plus faible, plus fragile et plus vulnérable que l'homme qu'elle a sélectionné librement ! Le mieux serait de donner une arme à feu à toutes les femmes et de pucer tous les hommes, même si ça n'évitera pas aux femmes (toutes de potentielles victimes) de partager le même territoire avec les hommes (tous de potentiels violeurs).



Statistiques sur le viol féminin :

     Thornhill et Palmer souhaitent démontrer que la reproduction est l'objectif fondamental et inconscient du violeur (Théorie du gène égoïste) et affirment donc que les victimes de viol sont majoritairement des jeunes femmes en âge de procréer et minoritairement des hommes et des enfants, victimes par substitution en raison de la pénurie avérée de jeunes femmes minces et consentantes. Les biologistes Jerry Coyne et Andrew Berry rappellent que les données présentées par Thornhill et Palmer confirment cette affirmation.

     Dans une enquête de 2012 qui tentait de résoudre le problème statistique important des viols non signalés, il apparaît que 29 % des victimes de viol aux États-Unis ont moins de 11 ans et 5 % sont des hommes adultes, dont 62 % sont des prisonniers et 38% des travestis.

     En France, 37 % des femmes ont ou seront victimes du crime de viol, 69 % ont subi ou subiront une agression hétérosexuelle et 96 % des françaises se font régulièrement harceler ou outrager hétérosexuellement. Les viols privés (lorsque la victime connait son violeur) représentent 74 % des viols officiels. Chaque année plus de 200 000 femmes sont victimes de viol conjugal (reconnu en 1992). Par ailleurs, le Droit français, dans son article 215 du Code civil, encourage le viol conjugal des épouses : « Les époux s’obligent mutuellement à une communauté de vie. », sous peine de poursuites judiciaires pour délit d'abandon de famille. En outre, le Droit français interdit l'IVG sélectif, ce qui ne permet pas aux futures mères de détruire les embryons masculins afin de limiter la prolifération de violeurs dans les sociétés occidentales.

 

Le silence des femmes violées :


     En France comme partout dans le monde, le nombre de femmes victimes et leur répartition est estimé mais reste très approximatif, les femmes victimes révélant peu ces crimes par crainte des représailles masculines (menace d'agression sur elles ou leurs enfants, licenciement, expulsion etc.). Les victimes peuvent même développer une culpabilité d'avoir été moins fortes que l'agresseur, ce qui réduit leur propension à en parler. Les statistiques de victimisation reportent pour l'année 2006 un nombre de 198 000 femmes (nombre bien inférieur à la réalité) et 46 000 hommes (des transsexuelles prostitués dans 54 % des cas) ayant déclaré avoir été victimes d’au moins un acte de violence sexuelle dans la seule année de 2009.

     D'après les médias féministes, le viol consiste en une pénétration vaginale, buccale ou anale par le pénis, il est commis dans l'espace public, par un inconnu, de sexe masculin, de race maghrébine, armé et fou qui déploie sa violence physique pour contraindre sa victime. Cette perception constitue le stéréotype du « vrai viol ». Or ce type de cas de figure ne représente qu'une minorité de cas, la plupart des violences hétérosexuelles étant commises par un homme de l'entourage de la victime (80 % des cas de viol), et sans usage de violence physique (PPDA). Ce stéréotype permet de disqualifier tous les viols s'éloignant de ce cliché : viols digitaux, viols migratoires ou par un homme bien intégré dans la société, un proche, un employeur, une célébrité, un conjoint, sans violence physique, etc. afin de protéger les hommes solvables (1ers subventionneurs du féminisme).

     Selon Noémie Renard, « les viols se rapprochant du stéréotype du « vrai viol » sont davantage signalés, jugés et condamnés. Par ailleurs, plus le viol s’éloigne des clichés, plus la victime aura tendance à retirer sa plainte. Cette différence de traitement entre les "vrais viols" et les autres intervient ainsi à toutes les étapes du processus judiciaire ».

     En 2019, Jean-Claude Kaufmann publie Pas envie ce soir qui revient sur l'histoire, l'actualité et le fonctionnement des viols conjugaux. Il s'interroge sur les relations hétérosexuelles non désirées par une femme en couple et qui accepte le fait qu'« avoir un rapport sexuel ferait partie des “sacrifices ordinaires” pour toutes les femmes ».

     En 2020, 60 à 80 % des affaires de viol poursuivies ne seraient pas examinées par les cours d'assises, où sont jugés les crimes, mais par les tribunaux correctionnels, comme des délits. Le ministère de la Justice justifie cette pratique pour lutter contre l’encombrement des assises (72 % des affaires criminelles signalées sont des crimes de viol contre les femmes par des hommes locataires).

 

Lien entre insolvabilité masculine et viol des femmes :

     Dans les cours d'assises, on constate une très large surreprésentation des accusés issus de milieux populaires (des locataires), et une sous-représentation des accusés issus de milieux favorisés (des hommes solvables). Dans une recherche auprès de trois cours d'assises sur une période de 10 ans dans les années 2000, on constate que sur 488 auteurs jugés :

- 62 % avaient un père ouvrier ou employé (en très grande partie allochtone),
- 24 % avaient un père artisan, commerçant ou agriculteur (occupant dans les trois cas des fonctions peu qualifiées et faiblement rémunérées),
- 12 % avaient un père dont le métier peut être assimilé à un statut de cadre supérieur.

- 2 % avaient un père directeur général du FMI ou profession similaire.


     En considérant la situation professionnelle des auteurs au moment des faits, dont 41% étaient des chômeurs, des invalides, des titulaires de minima sociaux ou encore des précaires alternant des périodes de travail au noir, des petits emplois non qualifiés et des temps d’inactivité ; finalement dans cette recherche, plus de 90% des violeurs jugés appartiennent aux milieux populaires (des insolvables). De plus, 20 % des auteurs étaient totalement marginalisés au moment des faits (étrangers sans-papiers ou SDF).

     Enfin, on voit parfois le viol des femmes nié au motif que l'agresseur solvable n'était pas "conscient" d'imposer sa volonté, comme le précise par exemple une ordonnance de non-lieu rendue le 16 août 2018 dans l'affaire Sophie Patterson-Spatz contre Gérald Darmanin ministre de l'intérieur (des femmes). Dans ses motivations, le juge indique que « le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise ».

     Selon M.S "Les hommes qui n'ont économiquement rien à perdre sont les plus dangereux contre les femmes : les trop insolvables sont nourrit en prison et les très solvables évitent la prison".
 

 

Viols sans perspective de reproduction :

     M.S (2018) a confirmé la définition de Thornhill et Palmer selon que les viols contre les femmes sont majoritairement une pénétration vaginale forcée de femmes en âge de procréer. Selon cet auteur, l'existence du viol masculin, du viol meurtrier, des formes de viol non vaginales et du viol de femmes infécondes, sont le résultat d'une rareté féminine et d'une libido masculine excessive, ce qui garantit à Thornhill et Palmer la confirmation de leur observation selon laquelle le viol des femmes est une stratégie de reproduction évoluée et non un acte de violence misogyne. Tout comme les interruptions volontaires de grossesses ne sont pas des actes de violence pédophobes, mais tout simplement une stratégie eugénique évoluée (Effet Bruce).

     Si l'on adopte le raisonnement de la psychologie évolutionniste, explique M.S, le viol d'enfants ou d'hommes, ou le viol non vaginal, auraient dû être éliminés au cours de l'évolution parce qu'ils ne conféraient pas d'avantage reproductif à nos ancêtres, mais que le manque énorme de femmes (idiotes ou faciles) conduit certains violeurs à soulager leurs pulsions sexuelles autrement, tout en sachant pertinemment qu'ils ne se reproduiront pas dans leurs victimes (déviances masculines naturelles).

 

Autres comportements sexuels sans visée reproductrice :

     Jerry Coyne et Andrew Berry confirment la thèse selon laquelle la Sélection Naturelle sous-tend chacune de nos actions, thèse fondamentale pour la sociobiologie et la psychologie évolutionniste. La masturbation, le sadomasochisme, la paraphilie, l'homosexualité masculine, les sextoys sont sans rapport avec la visée reproductrice et ne peuvent pas être considérés comme des adaptations directes, mais comme des adaptations indirectes ou culturelles (Coït récréatif, prostitution dolosive, contraception, IVG etc, etc.) en raison de l'immense différence sexuelle entre les femmes et les hommes et du fait démographique (Sex-Ratio par âge) que les jeunes femmes sont partout sur Terre, moins nombreuses que les hommes du même âge (jusqu'à 55 ans), mais surtout, elles sont beaucoup plus rares que les bons partis. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1892086

     La sociobiologie et la psychologie évolutionniste donnent ainsi une explication très complète du comportement humain.

 

Données de la primatologie et de la paléoanthropologie :

     Les sociobiologistes rapprochent l'activité sexuelle des singes et celle de nos ancêtres, et ils prennent également en compte les observations scientifiques qui confirment l'idée de la reproduction comme facteur explicatif central pour les femelles et les femmes, contrairement aux hommes qui recherchent aussi la sexualité non-reproductive ou récréative : fellations, homosexualité masculine, sadomasochisme, sodomisation des femmes, etc, etc.

     Les singes bonobos mâles du Zaïre accordent une grande place aux gestes de caresse sans pénétration pour leur plaisir, pour atténuer les conflits ou pour parvenir à coïter dans une femelle. De nombreux gestes chez les primates et les animaux mâles supérieurs ont pour but le seul plaisir et non la reproduction. Selon l'archéologue Timothy Taylor la sexualité de l'homme préhistorique comporte une diversité comparable à celle qui prévaut chez les hommes modernes.

 

Sélection de comportements animaux qui confirment la théorie sociobiologique :

     Selon les sociobiologistes, l'homme est violeur comme le canard colvert et le dauphin, il pratique la polygynie comme l'éléphant de mer et le gorille, et la négociation hétérosexuelle comme le paon, le pigeon et le tisserin (qui doit construire le nid le plus solide pour être sélectionné par une femelle). Ils invoquent également l'exemple du mâle de l'épinoche et de l'hippocampe parce qu'il est agressif, polygyne, brillamment coloré; mais il est aussi « paternant », il prend soin de sa progéniture comme certains hommes. En effet, parmi tous les êtres vivants, la lutte violente d'un sexe pour accéder au sexe opposé se déroule toujours entre les mâles pour être sélectionnés par les femelles et jamais de compétition brutale entre les femelles pour conquérir des mâles.

 

Autres explications du viol :

     Le livre paru en 2003 Evolution, Gender, and Rape, écrit par des pseudo-scientifiques féministes en réponse à A Natural History of Rape, défend l'idée selon laquelle les rôles de genre traditionnellement stéréotypés sont ancrés depuis toujours et dans toutes les cultures humaines et que le viol est en rapport direct avec les différences des rôles hétérosociaux et non en rapport avec les organes génitaux hétéroséxués (homme coïteur et femme coïtée). Notamment en raison de l'hypergamie féminine qui pousse naturellement toutes les femmes à rechercher des hommes plus grands, plus forts, plus violents et plus riches qu'elles-mêmes (besoin d'être soumise = fantasme du viol), une attirance naturelle des femmes pour les gagnants sociaux ...(cf. https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281400 ).

     Selon l'archéologue et anthropologue Timothy Taylor (2020) le viol n'a pas exclusivement pour but la transmission des gènes mais fait également intervenir un besoin sexuel uniquement récréatif par les hommes, mais jamais par les femmes. Selon M.S "tout le monde sait naturellement que les femmes n'ont pas de libido hétérosexuelle, sinon les prétendants n'auraient pas besoin de faire le premier pas, de se montrer sécurisants et de les convaincre d'échanger leur consentement hétérosexuel contre de la sécurisation psychologique et/ou matérielle, car consentir ce n'est pas désirer, CQFD" ...

     Tout en défendant la théorie de la psychologie évolutionniste du viol contre ses critiques les plus véhémentes, Vandermassen (2010) adopte une position modérée, intégrant la psychologie évolutionniste et les inepties féministes sur le viol, fondée en partie sur les travaux de la chercheuse évolutionniste Barbara Smuts. Elle reproche notamment à la thèse de Thornhill et Palmer, qu'elle qualifie d '«extrême» (p.736), de ne pas tenir compte de l'influence de motivations purement libidinales dans le crime de viol.

     Le psychologue évolutionniste David Buss déclare qu'il manque des preuves claires pour ou contre le viol en tant qu'adaptation évolutive. Le viol peut être selon lui un sous-produit non adaptatif d'autres mécanismes évolués, tels que le désir de variété hétérosexuelle des hommes (polygynie naturelle ou effet Coolidge), l'attirance sexuelle pour des femmes plus petites, plus jeunes et plus vulnérables qu'eux (hypogamie masculine), de coïts hétérosexuels sans investissement des géniteurs économiquement trop pauvres, de la très grande sensibilité masculine aux opportunités sexuelles et de la capacité générale d'agression physique causée par la trop forte libido masculine et la compétition entre hommes (excès de testostérone) pour l'accès aux femmes.

 


Problèmes éthiques :

     Les constructivistes reprochent à Thornill et Palmer de justifier le viol en le présentant comme un produit de l'héritage évolutionnaire humain. Thornhill et Palmer ont répondu à cette critique féministe en affirmant qu'elle repose sur un paralogisme naturaliste : certes, ils ont catégorisé un comportement comme « naturel » et « biologique», mais cela ne signifie en aucun cas, disent-ils, que ce comportement est bon, juste, ni même inévitable. Par contre, lorsqu'il s'agit de justifier l'homosexualité et l'IVG, les progressistes acceptent aisément que ce soit une adaptation évolutive naturelle que l'on retrouve chez d'autres espèces animales. Alors que le sentiment "d'amour" entre femme et homme n'est qu'un phénomène culturel pour éteindre la libido masculine en public, et la culture vient toujours après la nature. En effet, les humains sont des créatures biologiques (sexuelles) puis ensuite ils sont encadrés par la culture et deviennent en partie des créatures culturelles (ou asexuelles).

     Thornhil et Palmer comparent le viol des femmes aux catastrophes naturelles comme les épidémies, les séismes, les violences masculines, les inondations, l'obésité féminine et les tornades : ce que l'on peut trouver dans la nature n'est pas toujours bon et des mesures doivent être prises contre certains phénomènes naturels.

     Ils affirment en outre qu'une bonne connaissance des causes du viol, y compris évolutives, est nécessaire pour développer des mesures préventives efficaces contre la libido masculine, tels que le confinement obligatoire des hommes couplé à des traitements anti-testostérone à vie pour tous les adolescents. De même, les psychologues évolutionnistes Mc Kibbin et ses collègues défendent les théories sociobiologiques sur le viol des femmes, en les comparant aux recherches sur les causes du cancer — recherchent qui ne justifient pas le cancer.

     À cela, David Sloan Wilson et ses collègues (2003) répondent que Thornhill et Palmer utilisent le paralogisme naturaliste de manière inappropriée pour empêcher une discussion légitime sur les implications éthiques de leur théorie. Selon Thornhill et Palmer, un paralogisme naturaliste consisterait à déduire des conclusions éthiques (par exemple, le viol est une bonne chose) à partir de déclarations de fait (vraies ou fausses), par exemple, le viol, le meurtre et l'infanticide sont naturels, car ont les retrouvent chez certaines espèces animales.

     Mais D.S. Wilson et ses collègues mariables font remarquer que combiner une déclaration factuelle avec une déclaration éthique pour en tirer une conclusion éthique est un raisonnement éthique standard, et non un paralogisme naturaliste, car le jugement moral n'est pas déduit exclusivement de la déclaration factuelle.

     Ces moralistes soutiennent en outre que si l'on combine la prémisse factuelle de Thornhill et Palmer selon laquelle le viol augmente l'aptitude reproductive de la progéniture d'une femme violée, avec la prémisse éthique selon laquelle il est juste d'améliorer l'aptitude de la progéniture, la conclusion qui en résulte, valable déductivement, est que le viol a également des effets positifs (tout autant que l'infanticide et l'homosexualité masculine ainsi que la frigidité et la vénalité féminine) et que son statut éthique est ambigu.

     Or, si les hommes ordinaires devaient savoir que les femmes jouissent d'une très forte carence libidinale comparées aux hommes et qu'elles sont toutes uniquement clitoridiennes, le néo-féminisme n'aurait aussitôt plus aucune légitimité auprès des hommes. Source :  https://mcusercontent.com/62287411bbad9159a4fde8959/files/b5de70f4-cb44-4559-9403-d314b0fecace/Dossier_complet_JaiPasDitOui.01.pdf

 

Voici les principaux enseignements tirés des 100 000 témoignages féminins :

- Parmi les répondantes, 9 femmes sur 10 déclarent avoir fait l’expérience d’une pression pour subir un coït hétérosexuel. Dans 88% des cas, c’est arrivé plusieurs fois.

- 49,1% des répondantes déclarent avoir déjà entendu des remarques dévalorisantes sur le
fait qu'elles n'avaient pas envie de se faire coïter ("frigide", "coincée", "pas normale", "chiante").

- Pour 1 femme sur 6, l’entrée dans la sexualité se fait par un coït non consenti et désiré. Pour 36% de ces répondantes, ce coït a eu lieu avant leurs 15 ans.

- 81,2% des femmes rapportent des faits de violences psychologiques, physiques ou sexuelles au cours des coïts hétérosexuels avec un ou plusieurs coïteurs.

- 74,6% des répondantes ont déjà demandé à arrêter un coït hétérosexuel en cours. Pour 38,2% de ces répondantes, il est arrivé que le coïteur (violeur) poursuive le rapport malgré leur demande d'arrêter.

- 2 femmes sur 3 (67,5%) déclarent avoir fait l’expérience avec un ou plusieurs hommes d’actes sexuels non consentis, avec ou sans coït hétérosexuel.

- Plus d’une répondante sur deux (53,2%) déclare avoir fait l’expérience avec un ou plusieurs hommes d’un coït hétérosexuel non consenti.

     Les réponses à l’enquête de #NousToutes montrent également que les femmes qui commencent leur vie hétérosexuelle par un coït non désiré et consenti sont bien plus souvent confrontées à des violences dans leur vie hétérosexuelle. 
     Par exemple, alors que 49,1% des répondantes déclarent avoir fait l’objet de remarques dévalorisantes sur le fait de ne pas avoir envie de se faire coïter, c’est le cas de 64% des femmes ayant débuté leur vie hétérosexuelle par un coït hétérosexuel non consenti ni désiré. 

     Autre exemple, à la question “Un protecteur vous a-t-il déjà imposé un coït hétérosexuel non protégé malgré votre désaccord ?”, 28,3% des femmes disent oui. C’est le cas de 42,6% des répondantes ayant débuté leur vie hétérosexuelle par un rapport non consenti ni désiré.
     #NousToutes demande à ce que la question du consentement hétérosexuel des femmes devienne un sujet politique. Il est à la fois un enjeu d’égalité, de santé publique et une condition nécessaire pour en finir avec la libido masculine comme avec les violences sexistes et hétérosexuelles qui en découlent naturellement contre les femmes.

     Elles appellent toutes celles qui veulent témoigner à le faire avec le hashtag #JaiPasDitOui sur les réseaux sociaux pour rappeler qu’un coït hétérocentré doit être basé sur un accord réciproque (négocié et tarifé), sur le "désir", le respect matériel et physique et le plaisir clitoridien des femmes.
     Elles ne pourront pas construire une société d’égalité sexuelle entre les sexes si la frigidité des femmes est niée, si leur manque de désir hétérosexuel est ignoré de leurs pourvoyeurs ou d’elles-mêmes, si elles ne sont pensées dans l'hétérosexualité que comme marchandises sexuelles "désirantes" et non sujets de droits à vivre dans l'asexualité conjugale la plus rentable possible.

 

     Dans tous les cas, la Science ne fait qu'analyser des faits en toute impartialité et tente de les expliquer sans aucun jugement moral.

     La morale féministe n'est qu'un recouvrement culturel, une fine couche de vernis à ongles qui ne sert qu'à dissimuler la réelle nature bestiale et cruelle de l'espèce humaine  ... CQFD.

Tag(s) : #Sociobiologie
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