Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le vrai amour féminin ...

Le vrai amour féminin ...


       L'univers n'est conscient de rien, c'est seulement son improbabilité, la production de phénomènes aléatoires, qui finit par sélectionner des organismes vivants qui apprennent à y répondre et à durer suffisamment, en maîtrisant cette improbabilité par la sélection génétique d'abord, puis par la sélection économique des hommes par les femmes. Il faut donc reconnaître malgré tout que la sélection naturelle a perdu une grande partie de sa prise sur l'évolution humaine, ce qui se traduit notamment par une certaine dégénérescence de l'homme par rapport aux chimpanzés qui ont continué d'améliorer leurs performances alors que les humains ont plutôt subi une (très relative) dégradation génétique (sauf au niveau cognitif bien sûr).

     À l'évidence, ce qui caractérise l'humanité, c'est le langage qui permet une meilleure transmission des connaissances et des techniques (domestication du feu) permettant aux hommes locataires d'obéir en grande partie à la pression sélective des femmes modernes (ce qui n'est d'ailleurs pas sans poser des problèmes écologiques), passant ainsi de l'Évolution biologique à l'Histoire, c'est-à-dire à l'évolution des techniques bien plus rapide que la modification du génome humain.


     Les hommes moyens, les insolvables, les cons-sots-mateurs affalés dans leurs canapés qui regardent la télévision et qui ingèrent les publicités et les slogans féministes de la même manière que leurs congénères, croient qu'ils ont une vision du monde qui leur sont propre, ils pensent qu'ils sont singuliers et uniques, alors qu'en réalité le féminisme médiatique leur impose tous les jours des comportements de soumission par son idéologie victimiste et égalitariste. Les hommes insolvables regardent leurs écrans plus de 8 heures par jour.

     Le féminisme parvient ainsi à redécorer l'imaginaire mental de ses toutous insolvables selon le paradigme féministe, c'est-à-dire qu'on leur inculque ce qu'ils doivent penser et ce qu'ils doivent dire. Les insolvables ont beau regarder les publicités en se disant qu'ils maitrisent leur vie hétérosexuelle et qu'ils ne peuvent pas se faire avoir, que la publicité est stupide et que ça les fait bien rire. Mais les hommes locataires en réalité, les slogans féministes ils les ont déjà dans leurs têtes et ils consomment selon leur inconscient, selon tous les messages égalitaristes que le féminisme a réussi à g(r)aver dans leur inconscient, donc évidemment ce n'est qu'un outil politique, un outil de domestication des masses.

     Les hommes locataires et emprunteurs de leurs logements principaux ont alors peur de dévier de la pensée unique, d'être exclus de leur groupe et ils ont alors le désir inconscient de consommer afin de se conformer aux désirs des femmes minces ; acheter des I-Pommes tous les ans, devenir le plus solvable possible pour s'endetter à vie en faveur des femmes, diaboliser la sexualité masculine, valoriser la virilisation des femmes et régurgiter les slogans de l'idéologie dominante. La fameuse "société patriarcale est injuste" par exemple, qui est devenu le prétexte ultime du féminisme médiatique, pour dénigrer tous ceux qui ne suivent pas l'idéologie féministe, et la plupart des hommes locataires répètent ce slogan sans en connaître le sens réel, seulement parce que la télévision le martèle chaque jour.

    Ceci est une démonstration de la capacité des foules à accepter qu'on leur impose une idée et à la répéter dans la rue et à leurs proches, tout en terrorisant si besoin, d'autres hommes locataires ou solvables qui pourraient avoir un doute sur le bien fondé du féminisme. À partir du moment où tous les politiciens solvables aboient "non au sexisme", ça remet tous les insolvables dans le rang et ils donnent la papatte. Bien évidement la «liberté d'expression» qu'on pensait défendre s'est retrouvée pour le moins bornée.

 

L'homme solvable n'est qu'un loup à domestiquer pour le féminisme :

     Si vous prenez par exemple le loup et que vous le comparez au chien, le chien est un loup domestiqué, c'est-à-dire que c'était à l'origine un loup qu'on a sorti de son milieu naturel et de son état de nature, auquel on a donné de la nourriture et du confort (Sélection Artificielle). Le chien par définition n'a plus besoin de ses instincts de survie, de ses capacités d'endurance, d'orientation, de sa musculature ... Bref, le chien ne souffre plus de la comparaison avec le loup. Aujourd'hui le chien est devenu dépendant de son maître humain et il n'a plus aucune chance de survivre dans la nature.

     Le chien souffre donc d'une dégradation de ses instincts, il est touché par tout un tas d'affections génétiques graves, sa sexualité est totalement déréglée, il tente de se reproduire dans des pantoufles ou contre des jambes par exemple. Cela donne une idée des problèmes auxquels il fait face. L'alimentation du chien est aussi complétement déréglée, le chien est boulimique, souffre de tout un tas de troubles du comportement, il est donc viscéralement dépendant de son maître d'une façon complétement délirante, ce qui est très frappant par rapport aux autres animaux. Le chien est également frappé par un caractère juvénile durant toute son existence, c'est-à-dire qu'il joue du matin au soir de sa vie puisqu'il n'a pas d'autre préoccupation.

 

L'homme insolvable n'est qu'un chien à dresser pour le féminisme :

     Si on fait le parallèle avec l'être humain, on s'aperçoit que les hommes locataires sont dans la même situation. Les avancés technologiques les ont préservés du besoin vital de survivre, de chasser pour se nourrir et de s'entretuer pour se reproduire, donc les hommes locataires sont eux aussi placés dans une situation de confort matériel qui fait qu'ils ont perdu leurs instincts majeurs de survie et par conséquent, ils subissent les mêmes désagréments que le chien puisqu'ils ne coïtent pas dans des pantoufles (a priori) mais dans leurs mains ou dans des sex-toys produit par eux-mêmes. Ça concerne la misère hétérosexuelle des hommes insolvables, mais aussi l'alimentation qui est également complétement délirante chez beaucoup trop de femmes. Ça concerne aussi une juvénilité permanente, les hommes jouent à la baballe, aux jeux vidéo, vont au parc d'attraction jusqu'à un âge très avancé, mais surtout, le critère majeur c'est la dépendance à leur maîtresse médiatique. La dépendance absolue des locataires envers le néo-féminisme.

     Lorsque les hommes locataires retournent dans leurs tanières ils allument automatiquement leurs écrans, c'est leur inconscient qui allume l'écran parce qu'ils ont besoin d'une présence féminine continuelle, ne serait-ce que virtuelle, parce qu'ils ont extrêmement peur de se retrouver seuls face à leur misère hétérosexuelle, ceci est la caractéristique la plus fondamentale des hommes modernes. En effet, les hommes s'adaptent à leur environnement, alors que les femmes adaptent l'environnement à leurs propres désirs. C'est pour ça que les villes sont plus importantes que la nature et que la médecine esthétique est beaucoup plus chère et plus importante que la médecine sanitaire.

     Si on observe les hommes locataires dans une rame de métro ou dans un tramway, un bus et dans la rue, vous verrez qu'ils sont toujours occupés à regarder leurs écrans de smartphone, ils écoutent de la musique, ils mettent un fond sonore parce qu'ils ont très peur de se retrouver avec eux-mêmes et de constater leur misère hétérosexuelle, de regarder en face leur situation hétérosociale misérable, parce qu'ils risqueraient de se rendre compte que leurs courses à l'emploi, à l'emprunt et à la consommation sont totalement stériles et illusoires, et le chien se trouve dans le même schéma psychologique.

    La seule chose qui peut réveiller un animal domestique c'est l'abandon, c'est pour cela que les hommes insolvables sont terrorisés par la perspective de l'abandon et qu'ils se conforment au groupe, au chef de tribu, au chef d'État, aux dieux, et aujourd'hui ils obéissent à la maîtresse féministe de façon aveugle. En effet, cette meute servile se donne un mal de chien pour se soumettre à l'hypergamie féminine de revenus, sans avoir les moyens paternels et bâtimentaires de se solvabiliser. En effet, les femmes minces ne se font coïter que par des statuts sociaux masculins et non par des hommes, tandis que les hommes ne coïtent que dans des corps de femmes et non dans des personnalités féminines.

     La seule manière de dresser un chien c'est par le biais de la récompense et de la punition, il n'y en a pas d'autre. On peut associer n'importe quel comportement du chien à une récompense, comme par exemple; aller chercher le journal (féministe), on lui caresse la tête, on lui donne un biscuit, il associe après-coup la récompense à un comportement même si ce comportement n'a aucun sens pour lui. Par contre, s'il refuse d'aller chercher le journal on lui met une tape sur le museau, on le prive de son jouet qu'il associera du coup comme un stimulus négatif à ce comportement, même si ça n'a pour lui aucun sens.

     La néoténie psychoaffective hétérosociale est décrit en sociobiologie par la conservation de caractéristiques juvéniles chez les adultes de l'espèce humaine. C'est le fait de conserver la dépendance affective de l'enfant pour sa mère chez les adultes de tout âge. Ces phénomènes psychoaffectifs sont surtout observés chez les population occidentales (ou féminisées), pour lesquelles on parle de dépendance affective chronique conditionnée par les médias féministes (infantilisants) depuis la plus petite enfance, de manière à ce que les hommes survalorisent les femmes (même obèses). L'unique solution pour les hommes locataires d'Occident est donc de s'expatrier dans un pays pauvre (avec un capital suffisant) pour ne plus être réduit à la masturbation quotidienne.

     Si 7% des maîtres passent moins d’une heure par jour avec leur chien, les femmes passent, de façon générale, plus de temps avec leur chien que les hommes. 52% des Françaises préfèrent même partager des moments avec un chien plutôt qu'avec un homme célèbre, à savoir un Ryan Gosling. A en croire que les toutous prennent de plus en plus la place des hommes dans le cœur des dames, désolé messieurs les locataires !

 

La propagande féministe comme muselière :

     Selon M.S, la télévision, les grands médias féministes ont le pouvoir d'inculquer aux hommes locataires des comportements qui n'ont aucun sens, qui n'ont en réalité aucune finalité propre pour ces hommes insolvables, mais qu'ils acceptent car il y a derrière cette soumission masculine, la perspective d'une récompense ou d'une punition hétérosexuelle. Il suffit alors que le féminisme lance une idée stupide pour que les insolvables l'acceptent par répétition (Palvovisme); travailler et payer pour être accepté par les femmes ''indépendantes'', et gagner toujours plus d'argent qu'elles pour accéder à leur consentement hétérosexuel (le nonos).

     Les médias féministes ont en effet le pouvoir de monter de toute pièce une vision globale de victimisation des femmes et de prédation masculine et les publicitaires (dont 76% de femmes) le font aussi très bien, voire encore mieux que les films et les journaux d'informations. La plupart des produits que les hommes locataires consomment n'ont absolument aucun sens, sauf bien évidemment pour les femmes, car elles désirent toutes et toujours voir et avoir des preuves de solvabilité présentes ou futures, réelles ou supposées de la part de tous les hommes. En effet, les femmes minces imposent le Patriarcat aux hommes solvables (mariage) et elles imposent le féminisme contre les hommes insolvables (célibat). Et inversement, les hommes solvables imposent le féminisme (liberté hétérosexuelle) aux jeunes femmes minces, tandis que les hommes moyens tentent d'imposer le Patriarcat aux femmes minces (mères au foyer).

     C'est une des raisons pour laquelle, une très grande partie des hommes solvables (jeunes entrepreneurs, médecins, instituteurs, aventuriers, divorcés, retraités, etc.) dégoutés du féminisme occidental, s'expatrient en Amérique latine, en Asie ou au Maghreb afin d'améliorer ou de conserver leur qualité de vie hétérosexuelle dans des jeunes femmes minces, pendant que les insolvables de ces pays pauvres s'expatrient en Occident pour tenter de se solvabiliser pour espérer négocier une femme mince.

     Les hommes locataires sont alors obligés de suivre le mouvement féministe, car s'ils ne suivent pas ce mouvement prostitutionnel ils risquent d'être mis à l'écart des femmes minces, d'être hétérosexuellement ostracisés. Les hommes insolvables s'obligent alors chaque jour à jouer ce jeu économique et asexuel. Mais encore une fois, ils se comportent de cette manière servile sans y réfléchir, sans aucune réflexion et se disent qu'ils sont dans la plus belle civilisation du monde, que c'est formidable de pouvoir travailler pour rien ou pour une femme ronde (c'est pareil) du matin au soir et de consommer des marchandises de compensation hétérosexuelle du soir au matin.

     Et bien évidement ils ne peuvent pas se permettre de se remettre en cause parce que leur identité, leur éducation féminisée s'effondrerait. Ils ont tellement peur de l'exclusion par les femmes minces qu'il faudrait que tous les hommes moyens s'arrêtent d'obéir au néo-féminisme tous au même moment, ce qui est impossible et impensable à cause de la Culpabilisation des blancs et de ses préceptes faussement "égalitaristes". Facile d'être une féministe acharnée pour Clémentine Hautain(e) lorsqu'on est fille d'un chanteur et d'une actrice célèbres et petite-fille de député. 

 

Le syndrome de Palvov et de Stockholm :

    L'impression du libre arbitre n'est qu'une illusion, ils ont l'impression d'exister, que leur personnalité d'insolvable existe en-dehors de leur capacité d'emprunt immobilier (système de protection mentale), mais ce n'est qu'une suggestion de leur système neuronal programmé depuis leur naissance à obéir pour plaire aux femmes minces, car les hommes sont totalement dépendants de déterminismes très puissants qui leur imposent d'obéir à leur libido (seul désir que les femmes minces peuvent manipuler CQFD), et qu'ils pensent pouvoir maitriser. Mais en réalité, quand ils prennent n'importe quelle décision dans leur vie de tous les jours, leur cerveau l'intègre comme une finalité sexuelle ou alimentaire 8 secondes avant qu'ils en prennent véritablement conscience, se qui démontre combien leur domestication est dépassée par leurs actes.

     Selon la Sociobiologie, les hommes sont la merde de la Nature et les femmes sont l'or de la Vie. Imaginez deux tribus qui ne peuvent pas se rencontrer, une tribu composée de 100 hommes pour une femme et l'autre tribu composée de 100 femmes pour un homme. Dans un siècle, laquelle de ces deux tribus aura disparue ? 

 

Le progrès domestificateur :

    La domestication des hommes et des femmes par les hommes existe depuis la sédentarisation humaine, la romanisation, l'urbanisation, la technologie et l'industrialisation l'ont accélérée, la médecine l'a rendu obligatoire puisqu'encore une fois, aujourd'hui si leur fragilité corporelle dépend des machines et de la médecine, leur condition physique s'affaiblit (Syndrome de domestication), car pour survivre et s'adapter, il faut transmettre des maladies que la Sélection Naturelle aurait éliminée. Comme les chiens d'aujourd'hui avec de grandes oreilles ou de petites tailles souffrent de délétions génétiques et de cardiopathies sévères qui condamnent leur espèce.

    C'est exactement ce que font les hommes pour se solvabiliser (pour répondre à l'hypergamie féminine de revenus), ils ne se rendent pas compte des conséquences écologiques de la surproduction et de la médecine sans se rendre compte que les progrès de la médecine sont rendus indispensables, (tel que stopper la puberté des enfants pour qu'ils puissent choisir leur sexe à l'âge adulte). Mais la médecine dépend de tant de paramètres extrêmement complexes que le jour où ces paramètres s'effondreront, ce sera un carnage pour l'espèce humaine. Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage, le néo-féminisme n'est rien d'autre que de l'acharnement thérapeutique contre des déterminants biologiques immuables et indispensables à la procréation humaine, du moins, avant que les hommes ne fussent remplacés par les banques financières (salariat féminin), puis par des banques de spermes (PMA sans père).

 

Une surpopulation masculine virale :

     Une autre façon de réguler la population masculine, c'est par les guerres ou les virus qui sont attachés à une espèce où ils restent endémiques jusqu'à ce qu'une trop grande promiscuité déclenche une épidémie qui va clairsemer rapidement ses rangs (cas de l'Inde et de l'Afrique). En l'absence de ces régulateurs naturels, les espèces ont beaucoup plus de risques de disparaître sans laisser de traces.

     Cette domestication des hommes insolvables par les femmes minces n'est rien d'autre que le résultat de la sélection intersexuelle qui n'est aujourd'hui qu'une sélection par le résultat économique, où l'effet devient cause, c'est-à-dire qu'il y a sélection des finalités économiques et bâtimentaires qui favorisent l'infécondité des femmes modernes. Toute finalité biologique (prédation, alimentation, reproduction hétérosexuelle) est une répétition qui résulte d'une mémoire (génétique). Il doit être bien clair qu'un organisme qui cherche sa nourriture est bien mu par une finalité. Un prédateur qui vise sa proie a bien une visée, un objectif - se nourrir, augmenter sa population et réduire la surpopulation d'une autre espèce (animale ou végétale) - !

 

Une réflexion de niche :

     Au lieu de réfléchir sur ces conséquences à long terme, le féminisme se focalise sur des inepties à court terme. Toute l'actualité féministe ne concerne en fait que la condamnation infondée des inégalités naturelles entre femmes et hommes, du divertissement qui ne sert qu'à détourner les hommes insolvables de leur exclusion hétérosexuelle par les femmes minces. Toute l'actualité qui passe, toute la communication, le verbiage permanent ne concernent que la victimisation féminine et la prédation masculine, c'est une technique d'hypnose qui consiste à envoyer continuellement des informations afin de saturer le cerveau des hommes locataires, nourris chaque jour à la mamelle féministe pour finir par les déconnecter complétement des réalités sociobiologiques (par la déconstruction).

     Parce qu'ils ont trop d'informations à gérer, les hommes insolvables sont dans un état hypnotique. La propension des hommes locataires à polémiquer de plus en plus pour des sujets à 2 balles pour trahir l'ennui d'un quotidien d'exclusion hétérosexuelle par les femmes minces et maintenir un sentiment de «collectif», on le constate de plus en plus autour de soi et dans les réseaux (a)sociaux d'internet.

     L'humain s'est forgé en faisant société face à l'adversité. Mais l'amélioration des conditions de la vie matérielle des femmes désirables a entrainé la dégradation de la vie hétérosexuelle des hommes insolvables, ce qui les poussent à créer d'artificiels conflits. En effet, à l'origine les hommes avaient plus de droits que les femmes, car ces droits impliquaient des devoirs tels que : accomplir le service militaire et mourir au front, pourvoir aux besoins de ses parents et de sa famille, bâtir les immeubles et les navires, maintenir l'ordre public et la paix sociale, investir à risque et spéculer à perte, payer les impôts et voter, etc. contrairement aux femmes qui n'ont que très peu de devoir à accomplir : faire des enfants, s'occuper de leurs familles et des tâches domestiques, gérer le budget du foyer et subir le devoir conjugal.

     Aujourd'hui le néo-féminisme donne davantage de droits aux femmes sans les devoirs qui s'y attachent : surprotection étatique des femmes par rapport aux hommes, quotas professionnels en faveur des femmes (même incompétentes), avoir des enfants toutes seules, avoir la garde exclusive des enfants, moins condamnées que les hommes pour la même infraction, favorise les filles sur les garçons à l'école, bénéficiaires majoritaires des mariages et des divorces, occultation des problèmes médicaux masculins, criminalisation de la sexualité masculine, pas de maternité imposée (IVG et accouchement sous X) alors que la paternité est légalement imposée aux géniteurs, etc. Ces mesures féministes sont en fait contradictoires, car elles valident les réalités sociobiologiques concernant la fragilité et la vulnérabilité naturelle des femmes par rapport aux hommes.

 Paternité imposée : « Les femmes ont gagné beaucoup plus de droits que les hommes ces dernières années » | Public Senat

 

    L'incohérence de l'idéologie féministe se démontre facilement lorsqu'on demande à une féministe ; "Que deviendraient les femmes modernes sans la sécurité policière ?" ... Ou ; "Comment se fait-il que l'oppression patriarcale affecte inconsciemment la conscience collective des femmes, qui suivent malgré elles les normes sexistes, mais que cette oppression misogyne n'affecte pas la conscience ou l'inconscience des féministes qui luttent contre le patriarcat ? ... Les féministes sont-elles des femmes plus intelligentes que la majorité des femmes ? ou la majorité des femmes est-elle plus idiote que les féministes ?" ... Selon M.S, : "C'est parce que la très grande majorité de la population féminine trouve un avantage économique dans leur hypergamie de revenus, qui maintient les hommes dans la compétition économique, unique moyen d'accéder au consentement hétérosexuel des jeunes femmes minces."

     Seule une mesure politique pourrait endiguer le harcèlement hétérosexuel contre les femmes, en inscrivant une réforme constitutionnelle dans la Constitution, afin d'instituer l'interdiction à toutes les citoyennes et citoyens de s'unir hétérosexuellement à une personne patrimonialement inférieure ou supérieure, par respect du principe d'égalité sociale entre les sexes et pour l'abolition de la prostitution systémique des femmes qui se trouvent en position inférieure par rapport aux possessions patrimoniales de leurs conjoints (mesure fondamentalement socialiste). La pénalisation du harcèlement hétérosexuel contre les femmes par des hommes solvables (politiciens), va ainsi permettre aux femmes de remplacer les hommes au sein des plus hautes sphères politiques.

 

Le cynisme des prédispositions biologiques :

    Les hommes sont à l'origine programmés pour vivre dans un environnement hostile et où la moindre rencontre avec un autre homme inconnu mettait en jeu leur vie et où toute rencontre avec une jeune femme stimulait leur libido, donc le cerveau des hommes a développé tout un système de défense très puissant, qui fait qu'aujourd'hui dans la vie moderne nous croisons des centaines d'inconnues. Il faut alors imaginer les dégâts psychiques que cela engendre. Les hommes insolvables (ou en chien) que l'on voit aujourd'hui sont complétement enfermés dans leur bulle pornographique et déconnectés de l'hypergamie féminine qui les gouverne.

     Cela ne veut pas dire qu'on ne devrait pas faire preuve de précaution sur ce sujet. Par exemple il serait faux de réduire la finalité hétérosexuelle qu'à la reproduction individuelle (sans parler du Gène égoïste et des récompenses hormonales) qui n'en est qu'une forme partielle, car la sélection intersexuelle agit surtout au niveau de l'espèce. Ce n'est pas non plus forcément une finalité biologique consciente, car si l'on peut penser que le prédateur a conscience de vouloir attraper sa proie, les abeilles n'ont bien sûr aucune conscience de participer à la pollinisation des fleurs dont elles dépendent pourtant. C'est juste une finalité programmée.

'' Je cherche l'homme ! '' ... Diogène de Sinope.

 

Le remuage de queue permanent :

     Dans le quotidien des hommes insolvables, on en dit le moins possible, on blague, on assure juste la coexistence, l'échange de paroles vides ne mettant pas en cause l'interlocutrice (la dresseuse). Il y a là une nécessité hétérosociale de politesse et de pudeur, afin de cloisonner la libido masculine des locataires (les immariables). Il suffit alors de voir les hommes insolvables dans la rue qui sont complétement abrutis et qui sont incapables de prévenir un danger, mais surtout, qui ne se rendent pas compte du fait qu'ils ne font qu'importuner les jeunes femmes minces.

     Cet abrutissement des hommes locataires ne se retrouve pas chez les jeunes femmes minces, car les femmes normales sont effectivement et heureusement toujours sur la défensive, car les femmes intelligentes sont toutes naturellement terrorisées par l'idée de se faire coïter par un insolvable (sans sécurisation économique préalable), alors que le féminisme, par égalitarisme obscurantiste, encourage les femmes à se mettre en danger face aux hommes, à se faire violer par des hommes ''censés'' avoir la même libido qu'elles, afin de légitimer leur idéologie victimaire et mortifère.

     En effet, les féministes dénoncent depuis plus de 50 ans, plus de 400 viols officiels de femmes par jour en France, sans jamais interdire les interactions intersexuelles (comme le fait l'islam et le judaïsme). Pour des logiques économiques, le féminisme considère les vidéos pornographiques comme une sexualité normale d'hommes solvables (Mon corps, Mon choix!), et comme du viol pour les insolvables qui se masturbent sur de la pornographie. On voit ici une des centaines des contradictions du féminisme, ou Féministerie.

     ​​​​​​Exemple ; Le maquillage, les cheveux longs, les talons hauts, l'épilation, les liposucions, la raie du cul apparente (attributs du racolage passif ou extimité ou augmentation du potentiel prostitutif), etc. ... ne sont pas l'expression d'une domination masculine, c'est un choix libre et personnel, mais le port du voile est une humiliation de la femme.

     Autre exemple ; De l'extrême gauche à l'extrême droite il est totalement interdit d'insinuer l'hypergamie féminine financière, car il faut caresser les électrices dans le sens du poil pour conserver la vie hétérosexuelle débridée des hommes solvables (ex : Julien Rochedy fils de solvable, ignore que c'est trop facile d'aimer la France quand on a les moyens financiers de choisir la femme qui nous plait), les seuls molosses qui peuvent s'exprimer sur les médias les plus extrémistes, car les femmes sont ''sacrées'', preuve de l'inégalité des femmes sur les hommes.

     Dernier exemple : Selon les théoriciennes du genre (ou lesbiennes frustrées ; Judith Butler et Monique Wittig) "On ne nait pas avec un pénis ou un vagin, le pénis et le vagin apparaissent par construction sociale", donc il n'existe que des individus asexués sans domination possible d'un genre sur l'autre, in fine, le féminisme et le masculinisme n'existent pas dans les études de genre, car ce sont des constructions culturelles ou des Performativités de genre.

     Il est bien évident que les différences hétérosociales des rôles sexospécifiques, sont naturellement créées et imposées par les distinctions sexobiologiques complémentaires entre les femmes et les hommes : Les hommes portent la nourriture (gibiers, charrues, charriots, charrettes, chars d'assaut, etc.) et les femmes portent les enfants (grossesses, allaitements, porte-bébés, poussettes, automobiles, etc.). Selon M.S, si la majorité des femmes renonceraient à leurs grossesses pour travailler et diversifier les coïts récréatifs, comme le font les hommes (avant l'ectogenisation de l'humanité), il ne resterait pas assez de femmes pour perpétuer l'espèce humaine, car il n'y a besoin que d'un seul homme pour féconder des dizaines de femmes par mois, et une seule femme ne peut produire qu'un enfant par année ... CQFD.

 

Le début de la domestication masculine par le féminisme :

     Il s'est passé quelque chose à la fin des années 1960 qui a orienté la société dans le sens féministe misandrique, qui a fait que tous les milieux qui donnaient accès à l'expression publique, c'est-à-dire les universitaires et les journalistes ont été tout à fait en quelques années contrôlés par des gays et des femmes extrêmement politisées qui ont pu sélectionner tous ceux qui allaient suivre après elles.

     Aujourd'hui le système féministe gynocentrique est très simple, quand un jeune homme entre à l'université il doit correspondre à ce qu'attend de lui sa professeuse, sa chargée de travaux dirigés, son examinatrice, puis sa directrice de thèse, puis celle qui va le publier etc. ... et jusqu'à l'entrée dans le marché du travail, et même au sein de son travail et de sa vie privée.

     Les insolvables et les cadres supérieurs ne peuvent donc pas exister hors de ce système gynocratique, car les étudiants qui sont au matin du grand soir de leur carrière, ne peuvent pas mettre en jeu tous les sacrifices de leurs études professionnelles (droit à une vie hétérosexuelle) pour la vérité hypergamique des femmes modernes, alors qu'au départ certains voulaient dévoiler ce phénomène ambiant et tabou (Loi du silence).

     On voit alors comment le système féministe exclut en jetant l'opprobre et la calomnie, accusant de sexisme, de racisme, d'homophobie, de grossophobie (depuis quand les obèses et les homosexuels causent-ils une peur panique ?), etc. (qui à l'instar du féminisme sont des pathologies mentales puisque ces haines ne reposent sur rien de naturel, sauf la grossophobie, la maigrophobie et autres maladies) ... tous ceux qui aperçoivent les dégâts de l'hypergamie féminine moderne, et à partir du moment où certains individus existent contre le féminisme, ils sont immédiatement exclus de ce système. On salit le messager pour décrédibiliser le message afin d'éviter de se pencher sur les études scientifiques officielles.

     Il n'y a pas de solution pacifique face à cet état de fait, à part une crise économique catastrophique qui supprimerait la production de marchandises compensatoires (ostentatoires) et la rémunération des juges et des forces de l'ordre, afin que les femmes minces s'allient enfin avec des hommes et non avec des réussites financières.

 

Le rallongement de la laisse féministe :

     La catastrophe économique n'étant pas prête d'arriver (Contr'un et argent magique), il faudra attendre que le néo-féminisme finisse d'accomplir son œuvre de dénatalisation chronique de la race blanche, afin de se faire remplacer par une société nataliste, pour ne pas dire salafiste. Ce sera alors l'avènement d'un système patriarcal radical qui sera le plus dur qui n'ait jamais existé contre toutes les femmes.

     Reconnaître la part inéliminable de l'hypergamie féminine n'est pas renoncer au Patriarcat Technocratique - c'est-à-dire davantage d'argent pour les hommes et beaucoup moins d'argent pour les femmes puisque c'est ce que désirent toutes les femmes qui veulent (encore) du couple hétérosexuel - alors que c'est au contraire la seule façon de sauver l'humanité.

     Certes, s'il faut ramener la vérité sociobiologique dans les sociétés modernes, ce n'est pas pour en garder les représentations les plus féminisées et les exagérations hypergamiques les plus folles, mais en déchirer plutôt le voile d'illusions pour revenir au sol des problèmes concrets et des conflits hétérosociaux que le féminisme engendre.

     Pour atteindre ces objectifs, il n'y a pas d'autre moyen que de tenir compte de l'hypogamie masculine et de l'hypergamie féminine, des erreurs commises et des effets indésirables de ses actions «progressistes». Pas d'autre moyen que de tenter de corriger le tir à chaque fois et redresser la barre quand la dérive devient trop forte.

     Pas d'action sans rétroaction, il faudra toujours rattraper le coup, faire preuve de précaution, rester vigilant. Ne jamais croire en tout cas qu'on est sur des rails une fois pour toutes : ni que l'aliénation bâtimentaire des hommes insolvables par les femmes minces pourrait devenir totale, ni qu'on pourrait en être totalement délivré, mais qu'on devra toujours s'en défendre !

Ouaf ouaf ...
 

Tag(s) : #Sociobiologie
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :