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L'inflation Féminine ...

 

L'inflation des femmes minces :

     L'inflation féminine, c'est l'augmentation des prix du consentement hétérosexuel des femmes minces (des Thigh Gap sans graisse abdominale) dans l'économie réelle, qui perturbe le calcul du PIB, ça le perturbe parce que ce qui nous intéresse pour savoir si une économie s'enrichit, c'est surtout les quantités et les qualités des femmes produites et hétérosexuellement disponibles sur le marché hétérosexuel, et pas seulement le prix de leur consentement hétérosexuel.

 

La Vraie valeur sociobiologique des femmes et des hommes :

     Selon la Sociobiologie, les hommes sont la merde de la Nature et les femmes sont l'or de la Vie. Imaginez deux tribus qui ne peuvent pas se rencontrer, une tribu composée de 100 hommes pour une femme et l'autre tribu composée de 100 femmes pour un homme. Dans un siècle, laquelle de ces deux tribus aura disparue ?  L’économie de l’hypergamie (uwpress.org)

 

L'indice des prix hétérosexuels :

     Le Produit Intérieur Brut (PIB) ne calcul que le niveau de production d'un Etat, de sa croissance économique, il ne tient pas compte du bien-être des individus. Dans un Etat sinistré par exemple, le PIB augmente énormément car il faut tout reconstruire, alors que sa population est en détresse. Ce que veulent les hommes c'est de coïter dans davantage de femmes minces, ou du moins autant qu'ils le voudraient, et pas coïter dans des femmes rondes qui leur coûtent moralement de plus en plus chères. N'oubliez jamais que les femmes minces travaillent toutes pour les banques, en effet les femmes minces et indépendantes, lors de l'interrogatoire amoureux au début de la négociation hétérosexuelle, demandent toutes et toujours à leurs conégociants masculins ; quel est le niveau exact de leur pouvoir d'emprunt immobilier, s'ils sont assez solvables pour coïter dans une femme regardable, sans quoi la négociation hétérosexuelle s'arrête. Dans tous les cas, ce sont uniquement les femmes minces ou rondes, jeunes ou vieilles, riches ou pauvres, qui fixent leurs prix hétérosexuels, c'est toujours un échange gagantes-gagants.


     Donc pour pouvoir mesurer correctement la richesse hétérosexuelle d'un pays, il faut mesurer l'augmentation des prix féminins ou indirectement, les prix de la consommation féminine (restos chic, téléphones haut de gamme, forfaits minceur, bijoux, voyages, sacs à mains de luxe, diplômes, emploi confortable, voitures neuves, appartements en ville, maisons avec piscines, contrats notariés, transferts d'argent, etc.), bref, de tout ce qui attire les jeunes femmes minces. 

     Puisque les hommes solvables n'achètent pas une maison ni des actions tous les jours, le prix de l'immobilier et celui des actions en bourse ne participent pas à l'inflation des femmes minces, donc tout ce qui est bulle spéculative sur les marchés financiers ou bulle de l'immobilier, ne se voient pas dans l'inflation générale, enfin pour l'immobilier on peut le voir par le biais des loyers si jamais ils augmentent aussi vite que les prix des femmes minces, mais ce sera fortement dilué parce que les loyers ne pèsent que 6% dans l'indicateur de l'inflation générale.
Donc si tous les prix devaient rester les mêmes, sauf les loyers qui devaient multiplier par deux, il n'y aurait que 6% d'inflation générale en France.

 

 

L'aversion masculine pour l'inflation féminine :


     Mais alors pourquoi l'inflation des femmes minces (monopsones) fait-elle peur aux hommes ? C'est parce qu'elle réduit la valeur de l'épargne des insolvables, ces pauvres bougres travaillent toute leur vie pour mettre de l'argent de côté, les prix des femmes minces montent subitement, donc les insolvables perdent du pouvoir d'achat hétérosexuel, la quantité et la qualité de leur vie hétérosexuelle sont réduites. Si par exemple un homme solvable a 5 000 euros de revenus mensuels réservés à sa vie hétérosexuelle et que le prix de la journée hétérosexuelle (dans une jeune femme mince) passe de 250 à 375 euros la journée, alors le pouvoir d'achat hétérosexuel de l'homme solvable passe de 20 journées hétérosexuelles à 13 journées hétérosexuelles dans le mois.

     L'autre gros problème de l'inflation des femmes minces, c'est le risque de crise économique. Les prix féminins grimpent mais les revenus des cadres supérieurs, les profits locatifs et les bénéfices commerciaux et boursiers ne suivent pas, donc les salaires moyens de la grande majorité de la population masculine ne peuvent plus prétendre à une vie hétérosexuelle dans des femmes minces, car les insolvables n'ont plus accès à certains biens et services nécessaires pour attirer et pouvoir négocier avec une femme mince.

     Or les dépenses des femmes minces sont les revenus des hommes solvables (investisseurs, chefs d'entreprises, nouveaux propriétaires immobiliers, etc.). Alors les Banques centrales font tourner la planche à billets afin d'injecter de l'argent "magiques" dans tous les secteurs économiques, au risque de faire grimper les prix des femmes minces. Les Banques centrales ne peuvent jamais faire faillite contrairement aux banques privées et aux particuliers solvables. Ce qu'il faut savoir c'est que l'inflation féminine n'est pas forcément liée à la création monétaire ex nihilo (qui ne repose sur aucune valeur tangible), ça n'a aucun rapport, ou plutôt la connexion est beaucoup plus indirecte qu'il n'y paraît.

     Enfin, les femmes des pays développés sont entrées sur le marché du travail en plus grand nombre, ce qui leur a donné plus de responsabilités à l'intérieur et à l'extérieur du foyer. Les femmes occidentales peuvent embaucher de l'aide et utiliser ce privilège de race et de classe pour transférer leurs responsabilités de travail domestique à une migrante moins privilégiée (nounou, domestique, cuisinière). Les femmes migrantes maintiennent elles aussi une hiérarchie entre les membres de leur famille et les autres femmes qui restent dans le pays d'origine pour surveiller les enfants de la migrante qui travaille pour les mères modernes, les blanches libérées des enfants pour travailler au bureau (ou sous le bureau).

 

Le féminisme contre la Croissance économique :

    Pour les hommes travailleurs (qui "ne se lèvent pas plus tard que les femmes" dixit Zemmour), le féminisme est philosophiquement le refus de l'altérité sexuelle, donc la recherche de l'Un, soit de l'Unité, niant la complexité et les contradictions inhérentes à l'hétérosexualité. Pour eux ; les hommes ambitieux, carriéristes, compétitifs, courageux, le féminisme est une atteinte à la liberté des femmes minces et des hommes solvables, en empêchant les hommes hétérosexuels de s'élever économiquement vers les femmes désirables en les réduisant, en les avalant dans la masse des insolvables, en allant à l'encontre des aspirations naturelles de l'hypergamie féminine de revenus, ce qui s'apparenterait à du communisme et de l'asexualisme.

     Les hommes solvables voient dans le féminisme, une source de nivellement par le plus petit facteur commun, que M.S qualifie de médiocratie. Les régimes élitistes combattaient le féminisme.

     Les arguments défavorables sont principalement économiques. Si le féminisme préconise une redistribution de l'ensemble de la richesse à l'ensemble des femmes, l'investissement et le travail masculin perdent tout intérêt en tant que moyen pour un homme d'améliorer ses conditions de vie hétérosexuelle aux yeux de toutes les femmes minces. En effet, les hommes qui généreront plus de richesse que la moyenne se verront privés de la différence au profit des femmes créant moins de richesse que la moyenne. De la même manière, dans un système féministe, moins un homme smicard et insolvable génère de richesse, plus son gain personnel lors de la redistribution sera élevé par rapport aux autres hommes entrepreneurs solvables.

     Faisant disparaître toute possibilité d'améliorer sa situation hétérosexuelle par le travail et l'investissement, le féminisme conduirait ainsi à une société dont la production de richesse totale diminuerait constamment, diminuant ainsi le montant redistribué à chaque homme et à chaque femme mince. Cette baisse des revenus masculins au profit de la hausse des salaires féminins ralentirait alors la dernière source possible de croissance économique qu'est la consommation féminine, (l'investissement et le travail masculin ayant progressivement disparu).

     À long terme, le féminisme mènerait donc à une création de richesse et à des rentrées fiscales qui tendent vers zéro, donc à une redistribution nulle et l'égalité économique effective de tous les individus. Les détracteurs de cette doctrine reconnaissent donc que sa mise en application permet de réaliser son objectif initial d'égalité économique parfaite entre les femmes et les hommes, mais dans l’extrême pauvreté, et par conséquent, la fin de la vie hétérosexuelle des hommes, les femmes modernes pouvant se reproduire seules par les relations courtermistes ou la procréation médicalement assistée (PMA ; 3,4% des naissances en France en 2018).


 

La Loi de l'Offre et de la Demande :


     Il ne faut pas confondre création monétaire et demande hétérosexuelle masculine. Selon la Loi de l'Offre et de la Demande, si l'offre féminine est plus forte que la demande masculine, les prix des femmes rondes baisse tandis que les femmes désirables sortent du marché conjugal pour stabiliser leur prix sur les marchés prostitutionnels (touristes hétérosexuelles au Qatar, photos érotiques, pornographie, sex-cam, sex-phone, sites d'escorting, exposition sexuelle sur les réseaux sociaux, etc.) pour rétablir l'équilibre sur les Marchés hétérosexuels (Marchés Conjugaux et Marchés Prostitutionnels). L'équilibre hypergamique, ou Loi de la sélection hétérosexuelle, implique 80% d'exclus hétérosexuels, de coïteurs de grosses, pour 20% de bons partis, coïteurs de jeunes femmes minces.

     Si c'est la demande masculine qui est plus forte que l'offre féminine, les prix des femmes minces augmentent, tandis que le prix des femmes rondes ne bouge pas, pour rétablir l'équilibre sur les marchés hétérosexuels. Rien que cela c'est déjà vérifiable. Si l'offre de femmes minces est supérieure à la demande masculine, les jeunes femmes minces constatent qu'elles ont des journées hétérosexuelles invendues. Les femmes minces doivent-elles pour autant réduire leurs prix ? Pas forcément, les femmes minces peuvent tout simplement diminuer, exporter ou stopper leurs rapports hétérosexuels pour ne pas faire baisser leurs tarifs hétérosexuels, ce qui est le cas dans partout dans le monde.

     Et si c'est la demande masculine qui est supérieure à l'offre féminine, alors pourquoi faudrait-il que les femmes minces augmentent forcément leurs tarifs ? Si davantage d'hommes veulent coïter dans des femmes minces, est-ce que les femmes minces vont augmenter le prix de leur consentement hétérosexuel pour autant ? Il est possible que les femmes minces vont simplement augmenter leurs cadences hétérosexuelles en multipliant leur clientèle masculine pour servir tous les nouveaux clients, par des économies d'échelle (augmentation exponentielle des plans-cul, des divorces, des remariages et des IVG).

     Peut-être aussi que les insolvables surnuméraires vont massivement se résigner au célibat, à l'homosexualité forcée ou à coïter dans des femmes adipeuses ou très alcoolisées. Ou encore, certains insolvables peuvent effectuer des procédures de regroupement familial par l'importation de jeunes femmes minces moins chères car issues de pays plus pauvres. Pour cela il leur faut financer plusieurs voyages à l'étranger et payer le mariage et la dot. Les insolvables surnuméraires peuvent ainsi utiliser leurs économies ou demander un petit crédit mobilier à leurs banques contre 5 années de remboursement. 


     Peut-être aussi que la meilleure décision stratégique pour les femmes minces, est de ne surtout pas monter leurs tarifs pour ne pas perdre de nouveaux clients vis-à-vis de leurs concurrentes, en raison de leur obsolescence naturelle ; divorces, enfantements, prises de poids, vieillissements, etc.

     Bref, cette histoire d'offre féminine et de demande masculine qui fait immédiatement bouger les prix féminins, est déjà une très bonne explication de la réalité sexo-économique. Donc les tarifs féminins augmentent ou stagnent, même si la demande masculine est inférieure à l'offre féminine, mais jamais les prix féminins ne peuvent baisser, sauf pour les femmes rondes, les mères et les trentenaires. 


     La demande masculine c'est la somme des volontés masculines de dépenses, consommations et investissements hétérosexuels des hommes, des agents économiques. Mais du coup, augmenter la quantité de monnaie par les crédits bancaires, ne veut pas forcément dire augmenter les volontés de dépenses hétérosexuelles masculines envers les femmes impropres à la consommation hétérosexuelle. Des femmes rondes qui tolèrent de se faire coïter par des chômeurs volontaires qui vivent du RSA et de menus larcins. Mais dans la plupart des cas, les rondes s'encouplent avec des gays infiltrés, qui se font passer pour des hétérosexuels afin de se reproduire et/ou ne pas décevoir leurs parents (religieux).

 


 

 

Les agents économico-sexuels :


     Nous avons grosso modo, 3 camps : les demandeurs hétérosexuels, ceux qui ont envie de louer le consentement hétérosexuel des femmes minces pour le plaisir coïtal, c'est la consommation hétérosexuelle masculine, pour le prestige social, c'est la spéculation féminine et pour la reproduction génétique c'est l'investissement immobilier. Sauf que la partie investissement immobilier de la demande dépend des consommateurs hétérosexuels solvables, s'il n'y a pas d'homme solvable il n'y a pas d'investisseur immobilier, ces deux situations sont synonymes.

     Ensuite il y a les offreuses hétérosexuelles, les femmes minces qui sont capables de louer directement (TDS) ou indirectement (flirt ou plan-cul) leurs corps maintenant. Elles, les non-travailleuses directes du sexe, les flirteuses en général, elles sont un peu plus flexibles, les hommes solvables (qui ont au minimum 30% à 60% de revenus supérieurs à elles) peuvent négocier 10% de plus ou de moins que l'année précédente, elles ont l'habitude de s'adapter aux caprices des rares hommes solvables. Ce ne sera pas sans conséquence, car le prix de leur consentement hétérosexuel dépend évidemment de l'âge et du RTH des autres femmes disponibles. Il ne faut pas voir l'offre féminine comme une chose complétement (f)rigide.

     Pour finir, il y a les très rares hommes hypersolvables qui gagnent plus d'argent que se qu'ils n'en dépensent (caractère hypertélique ou traits hypersécurisants) et qui épargnent beaucoup, qui investissent sur les marchés financiers, les gros épargnants, ceux qui disposent de plusieurs maitresses minces et officieuses ou de nombreux plans-cul officiels dans des femmes jeunes et minces.

 

Le Marché hétérosexuel :

     Alors pour que le marché hétérosexuel fonctionne, il faut des consommateurs solvables, puis des investisseurs mobiliers et immobiliers pour créer de la demande féminine de biens futiles et ostentatoires, des consommatrices à sécuriser. Et enfin une certaine capacité de financement pour la négociation hétérosexuelle avec les femmes minces (la Solvabilité Masculine). C'est le rôle des marchés financiers, mais aussi le rôle des banques de dépôt qui peuvent créer de la monnaie grâce aux emprunts immobiliers accordés aux femmes minces et aux hommes solvables, et dans une moindre mesure, à certains hommes locataires.

     Donc en fait, on a pas vraiment besoin des marchés financiers, car il y a déjà une capacité de financement hétérosexuel du côté des banques privées. Et enfin, il faut que la demande masculine ne soit pas trop au-dessus ou en dessous de ce que les hommes ont demandé l'année précédente, car le nombre de femmes minces disponibles est toujours insuffisant et du coup on constate l'augmentation des prix féminins, c'est l'inflation systémique des femmes minces.

 

Les femmes minces au rabais :

      Il existe, cependant, des jeunes femmes minces atteintes de graves handicaps psychologiques, mais elles sont beaucoup trop rares pour satisfaire quasi gratuitement, ou à vil prix, la libido de l'ensemble des insolvables ... Tandis que pour les insolvables les plus téméraires, car davantage en galère, ils peuvent accepter une mère célibataire mince. Or les mamans solos ne sont pas du tout une bonne affaire pour plusieurs raisons ; déjà elles sont mères donc elles ont déjà les enfants d'un ex-preneur à mettre sur le dos d'un futur repreneur. Ses enfants ne seront jamais celui du nouveau repreneur, qui devra en outre dépenser ses ressources pour les enfants de l'ancien utilisateur de la mère. Et si l'ancien coïteur de la mère l'a quitté c'est bien que la mère est devenue invivable (folie des grandeurs, asexuelle, irritable, menaçante, etc.) ou incoïtable (prises de poids irrémédiables, élargissement vaginal excessif, flaccidité mammaire, virilisation et ridation faciale progressive, etc.), 

     Ou pire encore si c'est la mère qui s'est séparée du père de ses enfants, car cela suppose un choix préconjugal irresponsable de la mère avant son insémination définitive et sans qu'elle n'est pu déceler les vices afférents à son ex-compagnon. Une erreur de jugement des mères solos a compromis leurs couples, et il est fort probable qu'elles reproduisent ce même schéma d'échec conjugal avec tous leurs prochains repreneurs. Toutefois, les mères solos minces restent le dernier moyens pour les hommes moyens d'avoir au moins accès à une femme mince d'occasion et d'apparence acceptable, voire regardable et présentable à autrui. Mais le repreneur insolvable ne doit pas s'attendre à recevoir des services hétérosexuels de qualités, car dans le cas contraire, son ex-utilisateur ne l'aurait jamais quitté ni laissé partir, sauf s'il a subi une faillite personnelle bien évidement.

 

Cas du Japon :

     Le Japon a subi une énorme crise financière dans les années 1990, qui a fait que le pouvoir d'achat hétérosexuel des hommes a perdu en quantité et en qualité ; chômage, célibats, suicides, forte dénatalité, viols, pornographie, prostitution de mode, homosexualité et encouplement de dépit avec des grosses ou des étrangères etc, etc. Il y a officiellement plus de 500 000 hikikomoris (hommes insolvables reclus chez eux) qui ont abandonné le marché conjugal au Japon. Comme partout dans le monde, les chômeurs n'ont aucune utilité sociale pour les salariés et les patrons, mais surtout, les perdants sociaux n'ont aucune utilité conjugale pour les femmes minces.


     Pareil en Occident, avec les crises économiques de 2008 et 2010, les Etats ont répondu à ces crises en créant énormément d'argent pour les marchés financiers, c'est le quantitative easing. Sauf que ça n'a pas du tout agit sur la demande masculine, car le problème ne vient pas de la capacité de financement du consentement hétérosexuel des femmes minces, le problème vient des consommateurs solvables, il faut le maximum d'hommes solvables pour que les entreprises aient les moyens financiers de produire des marchandises et des services de négociations hétérosexuelles en faveur des femmes minces, et surtout, pour diminuer le nombre d'insolvables et le fort taux de célibat des jeunes femmes minces qui en résulte.

 

Les techniques économiques :

     Et pour cela, il faudrait soit donner aux insolvables des crédits illimités pour qu'ils aient un accès direct aux femmes minces, par de très forts taux d'endettements et sa création monétaire par les banques, comme font les USA. Ou soit il faudrait augmenter les petits salaires de 100% sans augmenter le prix des marchandises non-sexuelles (logements, soins et nourritures) afin d'éviter l'Effet de Second Tour. Ou alors il faudrait leur donner directement de l'argent sur leurs comptes en banque (Allocations familiales), c'est ce qu'on appelle le quantitative easing for people, qui ne sert qu'à favoriser l'immigration de peuplement, afin d'augmenter la production de nourritures et d'HLM, pour élever les futurs prolétaires qui devront payer les retraites et les impôts, afin d'augmenter ou stabiliser la croissance économique, et in fine, augmenter ou stabiliser la vie hétérosexuelle des  20% de propriétaires bâtimentaires masculins (non-emprunteurs) et la richesse immobilière des jeunes femmes minces avec Thig Gap).


     Il existe donc plusieurs techniques économiques différentes plus ou moins efficaces, plus ou moins en ligne avec les quantités et les qualités des femmes d'une société, plus ou moins en accord avec les règles hypergamiques déjà en place.

     Toujours est-il que créer beaucoup d'argent ex nihilo sur les marchés financiers n'a aucune chance d'impacter les prix féminins, si le blocage ne vient pas du financement des femmes minces (des projets conjugaux ou immobiliers). C'est pour cela qu'il n'y a pas eu d'inflation générale des biens et des services ni en Europe ni au Japon, alors même que la planche à billets des banques centrales tournait à plein régime.

 

Les Marchés hétérosexuels internationaux : 

     M.S conseille à tous les hommes locataires et à toutes les femmes vraiment sceptiques (et même aux fausses septiques), de télécharger une application de rencontres occidentales avec un profil d'homme et de dénombrer les matchs et les rencontres affectives et effectives. Puis de télécharger ensuite une application de rencontres asiatiques, africaines ou latines avec le même profil d'homme résidant occidental (et pas forcément blanc) et un autre profil d'homme natif du même pays (forcément non-blanc), pour constater la différence de pouvoir de négociation hétérosexuelle entre un homme non-blanc dans son pays et entre un homme d'Occident, qui est toujours supposé solvable pour les pays sous-développés.

     En effet, sur une application de rencontres occidentales, un homme résidant en Occident, recevra 2 matchs maximums par semaine avec des femmes obèses ou multipares d'Occident, alors que sur les applications de rencontres tiers-mondistes, le profil d'homme d'Occident (de toutes origines éthniques) recevra au moins 50 matchs minimums par jour avec des jeunes femmes minces. Vous pouvez également faire ce test sur une application occidentale en indiquant une zone géographique extra-occidentale. Vous comprendrez ainsi pourquoi tant d'hommes originaires d'Occident s'expatrient dans les pays en voie de développement (ou pas encore féministe), car c'est naturellement et uniquement pour connaitre une réelle vie hétérosexuelle masculine (la même que toutes les femmes minces), et même pour vivre un mariage heureux avec des jeunes femmes minces et dévouées (elles veulent seulement s'occuper de leurs familles) et sincères (elles avouent sans tabou leur hypergamie de revenus).

 

Cas de la Covid-19 :


     Le problème actuel est très différent. Aujourd'hui, non seulement les femmes minces disponibles qui sont capables de négocier sur le marché hétérosexuel ne le peuvent plus, car les entreprises de biens et services non-indispensables sont fermées à cause de la Covid. On a donc toute une partie de l'offre féminine qui est bloquée mais en outre, la demande masculine est réduite et les hommes solvables n'investissent plus et les consommatrices confinées chez elles réduisent leurs consommations de biens et de services inutiles. On a donc des entreprises de confort qui font faillites et des insolvables qui se retrouvent au chômage avec des revenus limités, donc une vie hétérosexuelle encore plus réduite.

 

Cas des hommes Solvables :

     En parallèle il y a des hommes solvables qui possèdent des produits hétérosexuels et financiers, dont la valeur est de plusieurs milliers de milliards d'euros, car le quantitative easing c'est la banque centrale qui remplace une partie de ses produits financiers par de la vraie monnaie sonnante et trébuchante. Donc l'ensemble des hommes solvables possède des produits financiers dont la valeur est de 750 milliards d'euros et bientôt ils vont posséder à la place, 750 milliards d'euros en monnaie.

     Tout cela n'a rien à voir avec la demande hétérosexuelle masculine ni même avec l'offre féminine, il y a déjà des millions de milliards de monnaie sur les marchés financiers prêts à financer n'importe quel projet hétérosexuel, cela permet de stabiliser les banques et de faire baisser les taux d'intérêt, c'est donc très utile, mais ça n'a rien à voir avec l'inflation féminine. En réalité, dans le contexte hypergamique actuel, le risque d'inflation féminine ne vient pas de la création monétaire, mais plutôt du manque de femmes minces disponibles, de la pénurie de jeunes femmes minces sans diplôme, car les femmes surdiplômées sont beaucoup trop nombreuses par rapport aux hommes sous-diplômés.

 

La pénurie de femmes minces :

     En effet, parce que les chaines d'approvisionnement féminine sont ralenties par la dénatalité occidentale, (trop de temps passé dans les études, temps de travail incompatible avec l'enfantement, exigences féminines surréalistes, féminisme pro lgbtq+, diabolisation de la maternité et de la sexualité des locataires, promotion de l'avortement de confort et de l'obésité féminine, etc, etc.). Il y a donc une offre féminine bien inférieure à la demande masculine. Les capacités de procréation féminine deviennent déficitaires.

     Le Sex-Ratio opérationnel dans les sociétés occidentales est de 70 femmes en âge de procréer (entre 20 et 45 ans) pour 100 hommes âgés entre 20 et 45 ans, les jeunes femmes sont manifestement un tiers de fois moins nombreuses que les jeunes hommes du même âge. Pour les séniors, il y a 40 hommes de plus de 60 ans pour 100 femmes de plus de 60 ans (source Insee et Ined 2020). Ce qui fait dire aux féministes qu'il y a 140 hommes pour 170 femmes, car elles ne tiennent pas compte de l'âge des femmes ménopausées par rapport à l'âge avancé des rares hommes survivants (les travailleurs libéraux à la retraite). 

     Autrement dit, les Etats se débrouillent pour s'endetter et garantir à tous les hommes (solvables et insolvables) un revenu suffisant pour se reproduire, mais il n'y a pas assez de femmes minces pour tous les insolvables. Et c'est là que les Etats féministes trouvent un moyen de rationner la population masculine insolvable. Or une des méthodes les plus simple et qui se met naturellement en place pour y parvenir, c'est le rationnement hétérosexuel en fonction du niveau de solvabilité des hommes, donc par l'augmentation des prix féminins, ou par l'hypergamie féminine sans limite (le féminisme 3.0 = wokisme = Institutionnalisation de l'obésité féminine et de l'homosexualité masculine).

      En effet, plus les femmes occidentales sont bâtimentairement capricieuses et plus les pays pauvres enrichissent leur PIB, de 5% à 15% par an, par le tourisme hétérosexuel et les expatriations d'hommes blancs (Chiffres de l'OMC 2022).

 

Cas du Venezuela :

     C'est exactement ce qui se passe au Venezuela, plus grand consommateur de soda du monde et donc d'énormes cas d'obésité féminine. Le pays ne produit quasiment pas de bien de première nécessité. En gros, à chaque fois que les consommatrices font du shopping dans les supermarchés, dans les pharmacies, dans les magasins de vêtements, les bijouteries, les parfumeries etc. les produits sont presque tous systématiquement importés, le Venezuela paie pour ses importations de biens en pétrole, dont il possède les plus grosses réserves officielles au monde. Sauf que non seulement le Venezuela n'a pas réalisé les investissements nécessaires pour maintenir son outil de production (en raison de la trop forte corruption hétérosexuelle des hommes d'Etat), donc il s'est mis à extraire de moins en moins de barils. Mais en outre, le prix du pétrole a fortement chuté à partir de 2011.

     Toujours est-il que moins de pétrole qui en outre se vend moins cher, égal moins d'importation de biens, égal des magasins moins garnis que d'habitude, l'offre de biens devient inférieure à la demande de biens. Il faut alors trouver un moyen de rationner une population féminine qui ne peut plus maintenir son niveau de vie dont elle avait l'habitude auparavant. Dans une économie ou chaque commerce est libre de fixer son prix de vente, et ou chaque commerçant est également un consommateur, la méthode de rationnement hétérosexuel qui se met immédiatement en place par les femmes minces, passe par l'augmentation de leurs tarifs hétérosexuels. Les Vénézuéliennes savent, dès leur plus tendre enfance, le fait que la minceur féminine est essentielle à la réussite hétérosociale. Un titre de Miss permet d’entamer une carrière de comédienne, de chanteuse, de mannequin ; la Minceur féminine permet d'avoir une importante notoriété dans le pays. Les Miss ont pu entrer en politique ou dans le monde des affaires.

 

Les profits féminins obligataires :


     Même un pharmacien qui refuserait d'augmenter ses prix, est dépendant de son chiffre d'affaire pour se loger, se nourrir, se soigner et accéder au consentement hétérosexuel des femmes minces, donc si les supermarchés augmentent leurs prix, il faut logiquement que le pharmacien et les femmes minces augmentent elles aussi leurs prix hétérosexuels.

     Parce que l'offre féminine est toujours limitée et que la majorité des jeunes femmes minces ne sont pas importées, et qu'il faut bien équilibrer l'offre et la demande hétérosexuelle à 80% d'exclus hétérosexuels pour 20% d'hommes solvables, et c'est pour ça que l'inflation féminine est nécessaire.

     Ensuite les insolvables se révoltent (les gilets jaunasses) pour obtenir des hausses de salaires et des baisses de charges, parce que ces déviants ne comprennent pas pourquoi ils ne pourraient pas conserver leur niveau de vie hétérosexuelle pitoyable. Alors que ce n'est pas qu'une question de revenu, c'est également une question de disponibilité et de concurrence féminine.


     Le gouvernement et les entreprises acceptent d'augmenter les salaires, la planche à billets tourne, mais ça ne fournit pas de femmes minces supplémentaires pour autant. Le rationnement hétérosexuel se met à nouveau en place et les les prix féminins augmentent encore davantage.
     Voilà comment se déclenche le cycle infernal d'une inflation féminine qui peut très vite déraper en hyperinflation féminine (cas des pays développés).

 

L'hyperinflation féminine :


     Mais en fait, ce n'est pas la planche à billets qu'il faut blâmer, car elle n'intervient qu'en dernier recours. 
     Il y a d'abord un choc économique, des barils de pétrole pas assez nombreux et pas assez chers, qui réduit la quantité de biens disponibles pour sécuriser les femmes minces, et ensuite en Occident il y a une crise démographique, des femmes minces pas assez nombreuses et beaucoup trop chères, car l'hyperinflation féminine est la méthode la plus évidente pour rationner hétérosexuellement la population masculine et la faire travailler moins cher, et pour lui faire rembourser sa vie hétérosexuelle à crédit toujours plus longtemps (augmentation de l'âge de départ à la retraite). Malgré le fait qu'il y aura de moins en moins de travaux manuels à cause des innovations technologiques (augmentation du chômage structurel des insolvables). 


     Et enfin, il y a une réponse des autorités monétaires consistant à faire tourner la planche à billets parce que lorsque les prix des biens et les revenus des insolvables augmentent, il faut encore plus de monnaies pour que les échanges matériels et hétérosexuels continuent de se faire - dans la même valeur du temps de travail et du prix des biens de première nécessité.

     Mais attention, la situation d'hyperinflation des biens, et donc des femmes minces au Venezuela est très particulière. Le pays manque de tout, ne produit quasiment rien sur son sol, son économie est entièrement dépendante d'une matière première dont le prix est fixer sur des marchés financiers ultra spéculatifs. En bref, on est bien loin de la situation occidentale.

     Cela dit, cet exemple encore une fois extrême, illustre bien comment l'inflation féminine peut venir de la pénurie de marchandises hétérosexuelles et non-sexuelles (voir l'Effet Veblen). Pour le Venezuela, la pénurie de nourriture vient de l'impossibilité de payer pour ses importations de nourritures, mais pour l'Occident et la Chine, la pénurie féminine qui cause l'hyperinflation féminine, vient de la scolarisation des filles, du salariat féminin, de l'hypersexualisation des gamines, de la dénatalité féminine, d'un problème d'importation et de procréation de femmes, etc, etc. donc des problèmes hétérosociaux causés par le féminisme, unique outil du capitalisme ... ou l'inverse.

Tag(s) : #Sociobiologie, #Sociologie conjugale.
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